Prologue

Par Elora
Notes de l’auteur : N'hésitez pas à me dire toute les choses qui ne vont pas, et à me donner votre avis !

— Brûlez tout ! Tuez les tous ! hurla l'enfant.
Une volée de flèches enflammées siffla dans le ciel et tomba sur les toits de chaume qui prirent feu, éclairant la nuit noire.
Des cris retentirent dans les bâtiments et des gens sortirent en courant, en même temps que l'enfant, qui leva un bras devant lui, sa main tenant une épée.
L'armée s'élança, et ensuite, ce fut un carnage.
Les lances s'enfonçaient dans le dos des gens, qui tombaient sans avoir compris ce qui leur arrivait et les lames des épées sifflaient et faisaient tomber des têtes.

L'enfant déambulait sur son char, observant le massacre.
Son visage était impassible, mais plus les corps s'empilaient sur le sol, plus il avait dû mal à cacher le sourire satisfait qui soulevait le coin de ses lèvres.

C'était tellement simple, la vengeance était à portée de main, mais ce n'était qu'un aperçu de ce qui allait se passer ensuite.
Les Elfes et les Fées, c'était une chose, mais il restait les Anges.
Ces Anges de malheurs...
Ils se protègeaient avec leurs moyens, et des moyens, ils n'en manquaient pas, mais ils payeraient pour ce qu'ils avaient fait, ou plutôt ce qu'ils n'avaient pas fait.

L'enfant regarda autour de lui et vit une grande place éclairée par une lueur orangée, qui était recouverte de sang et de cadavre.
Certains soldats s'étaient attardés, cherchant les fuyards.

Bien, très bien.

Les roues du char pénètrèrent dans le sang, se recouvrant de rouge, et l'enfant observa avec satisfaction le paysage.
Puis il respira un grand coup, se délectant de l'odeur qui régnait sur la place, car il ne se sentait bien qu'au milieu du sang et de la mort, ainsi ne cherchait-il plus à cacher son sourire, dévoilant des dents blanches et pointues.

C'était le début de ses représailles, et les Anges ne pourraient plus ignorer le malheur du monde car ils seront en son centre.

Ils ne pourraient plus l'ignorer.

Un faible gémissement le ramena au présent qui provenait d'une petite ruelle, à l'écart de la place principale.

L'enfant descendit de son char, en sautant sur le sol et les éclaboussures lui mouillèrent les bras, laissant des tâches rouges et humides sur ses manches blanches.
Il se dirigea vers l'endroit d'où provenait le bruit et prit son épée à deux mains.
Il ne devait y avoir aucun survivant.

Ses chaussures faisaient un bruit spongieux à mesure qu'il avançait, à cause du sang et tant pis s'il se tâchait, car son pantalon avait déjà une couleur de rouille, et ce n'était pas sa couleur naturelle.

Il entra dans la ruelle, et ce qu'il y vit aurait suffit à attendrir le plus dur des coeurs.
Mais pas lui, il n'avait pas de coeur.

Une petite fille en pleurs gisait sur le sol, sa robe blanche trempée de sang.
Elle serrait dans ses mains une autre main, blanche et délicate, provenant d'un corps allongé à terre.
Le corps était celui d'une fée, grande, mince, à la peau blanche, mais ses yeux étaient grands ouverts, sans trace de vie.

L'enfant s'approcha et s'accroupit à côté de la petite fille, les genoux dans le sang de la femme, puis il tendit sa main, et à l'aide de son index et de son majeur, ferma les paupières de la femme.
Il était peut-être cruel, mais il respectait la mort, jamais il n'aurait voulu l'offenser.

Il regarda la femme un instant, puis se tourna vers l'enfant, qui le regardait, avec dans le regard, une frayeur indescriptible.
Jamais personne ne l'avait regardé comme ça, et il en était flatté.
Puis levant son épée, il se prépara à l'abaisser, mais ne fit rien, laissant son épée en l'air.
Une étincelle s'était allumée dans son regard.

Il n'allait pas la tuer, non, il avait une bien meilleure idée.

Il la détailla de la tête au pied, vérifiant si elle était apte à la mission qu'il allait lui confier.
Environ onze ans, d'une bonne taille pour son âge, brune à l'air fragile.

Avec un regard de connaisseur, on pouvait apercevoir le reflet irisé qui se trouvait dans son dos.
Des ailes, exactement comme celle des libellules.

— Elle est parfaite... murmura t-il. Petite, comment t'appelles-tu ? rajouta t-il.

C'était quelque peu osé de dire "petite" car il était lui-même plus jeune qu'elle.
Enfin...
Pour le physique, peut-être, mais à l'intérieur, il était bien plus vieux.

L'enfant le regarda avec des yeux effrayés, mais ne lui répondit pas.

— Alors ? s'impatienta le garçon.

— Mi...mi...ria...miria...bégailla-t-elle.

— Articule ! s'énerva l'autre enfant.

— Mirianna ! hurla la fillette dans un sanglot.

Le garçon eut un sourire, qui découvrit ses dents pointus.

— Eh bien, Mirianna, j'aimerais que tu passes le bonjour à mes amis les Anges et que tu leurs dises que ma vengeance a sonné. Bien que je pense qu'ils l'aient déjà remarquée, ajouta t-il dans un petit rire. Tu as compris ?

Mirianna hocha vivement la tête, et l'autre enfant lui prit le menton dans une main.

— Parfait, dit-il.

Et il l'embrassa sur le front avant de se lever et de partir, son épée trainant sur le sol, derrière lui.

Il entendit l'enfant de la ruelle pleurer toute les larmes de son corps, ce qui lui arracha un rire en regagnant son char, devant lequel son armée s'était rassemblée.

— Il n'y a aucun survivant ? demanda t-il.

— Aucun, Maître, lui répondit l'armée toute entière.

L'enfant eut un sourire satisfait, puis il adressa un signe de tête à un soldat, qui fit claquer son fouet, et les chevaux avancèrent dans un hennisement retentissant.
Le char se remit en route, suivi de son armée, laissant derrière lui un village à feu et à sang.
Les flammes dansaient dans le ciel noir, éclairant les campagnes alentours d'une lumière orange.

Décidément, une bonne journée commençait.


***

Le Maître ouvrit les yeux dans un sursaut, il s'était encore égaré dans les pensées des autres.

Il se massa les tempes et referma les yeux.

Il avait passé bien trop de temps avec les autres, car leurs souvenirs avaient déteint sur lui, l'obligeant à revivre des choses qu'il ne voulait pas.

Cette fois, c'était des souvenirs de l'ancienne fée dont il avait
rêvé, et Ils étaient encore pire que ceux du dernier des autres.

Le Maître ouvrit les yeux et vit que son risqueur de vie l'observait.

Pendant un instant furtif, le Maître fit la grimace.
Il n'aimait pas que ses sujets le voient dans des moments de faiblesses, et ce qui le voyaient ainsi risquaient gros.

Le serviteur voyait bien que son Maître n'allait pas bien, alors il fit ce pourquoi il était là.
Questionner le Maître faisait parti de son rôle, et il était prêt à le faire.

Le serviteur pensait que son maître éprouvait un certain malaise car il avait rêvé de l'enfant du mal.
Il ne se trompait pas, à un détail prêt.

— Vous le sentez Maître, n'est-ce-pas ? demanda le déchu à son Maître, assis sur un trône de pierre.

— Oui, c'est vrai... il s'agite de plus en plus...

— Et qu'allons-nous faire ? le questionna un autre homme, aux cheveux de blé qui venait d'entrer.

Même avec leur Maître, les déchus ne respectaient pas les règles et entraient où bon leurs semblaient, quand ils le voulaient.

Leur Maître éclata de rire, d'un rire sans joie rempli de cruauté.

— Regardez, quelle question ! Il choisira comme il l'a toujours fait les deux élus et nous assisterons à leur mort !

— Savez-vous qui sera choisi ? demanda le risqueur de vie, un plateau de saumon dans les mains que l'autre serviteur venait de lui donner.

— Je ne sais pas... déclara le Maître, en prenant une tranche de poisson et en l'avalant sans qu'elle fut cuite. On ne sait jamais qui il va choisir... ajouta t-il d'un air songeur.

Les déchus ne dirent pas un mot pendant le silence qui s'ensuivit, de peur de déranger le Maître qui réfléchissait.
Après un interminable silence, l'homme aux cheveux de blé s'agita, ramenant son Maître dans la réalité.

— Je ne sais pas ce qui va se passer, mais j'ai le présentiment que nous allons tous mourir ! s'exclama le Maître d'un ton joyeux mais qui pourtant était toujours aussi froid.

Le serviteur aux cheveux de blé éclata de rire mais s'étrangla dans un hoquet en voyant le sérieux de son Maître.

— Allons Selmin, ne me dit pas que tu as peur ? le questionna son Maître avec un sourire.

Selmin lâcha un grognement ressemblant à un non mais son Maître ne l'entendit pas et de nouveau, il éclata de rire.

— Pourquoi avoir peur quand la mort est à nos côtés ? s'exclama t-il, après s'être calmé, elle nous laissera vivre.

Selmin se hérissa, il suivrait le Maître partout où il irait, mais la mort ne lui inspirait pas confiance. Elle n'était pas fiable.

Un grand festin s'annonçait et elle ne s'arrêterai pas là. Elle avait toujours plus faim. Elle les abandonnerai pour se retourner contre eux.

Il en était certain mais jamais il n'aurait contesté le Maître alors il resta là avec ses sombres pensées.

— As-tu confiance en moi ? demanda son supérieur.

— Oui Maître, dit-il en relevant la tête.

Le Maître posa sur son épaule une main plus noire que les ténèbres.
Ses yeux bleus brillèrent plus encore et il déclara :

— Je sais ce que je fais.

Et la Terre trembla, comme pour confirmer sa réponse.

 

 

Vous devez être connecté pour laisser un commentaire.
Edouard PArle
Posté le 31/08/2021
Hey !
Tout de suite convaincu par ton histoire que j'ajoute à ma PAL. Elle a l'air vraiment très intéressante, le style est plutôt bon même s'il y a quelques répétitions.
L'univers a l'air riche et bien construit.
Quelques remarques :
"Des cris retentirent dans les batîments" -> bâtiments
"L'armée s'élança, et ensuite, se fut un carnage." -> ce fut
"fait, où plutôt ce qu'ils n'avaient pas fait." -> ou plutôt ce
"Mais pas lui, il n'avait pas de cœur." Ce serait plus joli de mettre "mais lui n'avait pas de cœur."
"Une petite fille en pleure gisait sur le sol" -> en pleurs
"sans trâce de vie." -> trace(s)
Elora
Posté le 31/08/2021
Merci beaucoup pour ce commentaire !
Même si j'ai beaucoup progressé depuis le début, tout n'est pas parfait, il faudra faire une réécriture afin d'enlever toutes les répétitions, les fautes d'orthographe...
Je pars corriger ce que tu as remarqué !
Edouard PArle
Posté le 31/08/2021
Oui, après si tu corriges les fautes d'orthographe, c'est déjà un très bon niveau !
Etienne Ycart
Posté le 20/05/2021
Bonjour, Elora !
Ce n’est pas ce que je lis d’habitude. Mais ce n’est pas de la lecture pour enfant dit donc !
C’est âpre . Il y a du sang !

Curieusement cela me fait penser à la Grèce antique ou à Rome.
Tu as tout de même une parcelle d’humanité puisque tu permets à Miriana de vivre
J’imagine qu’un jour l’enfant regrettera de lui avoir laissé la vie sauve.
C’est très bien écrit .
Pour le moment on ne sait qui est le maitre ni si le maitre et l’enfant sont le même personnage
ces mystères donnent envie de continuer la lecture, c’est probablement ce que je vais faire
Une petite remarque cependant.
Dans la première partie le mot enfant est trop présent . Il y a même un passage où le bourreau et la victime sont tous deux un enfant.
L’enfant de la ruelle qui pleure et plus loin l’enfant eut un sourire satisfait.
L’enfant de la ruelle c’est bien la fillette ?
Sinon l’ambiance y est . Je verrais bien Néron dire.
« Décidément,une bonne journée commençait. »
Tout en buvant du vin, manger des gâteaux au miel, et écoutant de la musique douce.
Je vais continuer à lire. Je veux savoir qui est le maitre , quel lien l’unit à l’enfant « sans coeur ».
Qui seront les deux élus ? Surtout comment la mort... laisse vivre?








Bonjour, Elora !
Ce n’est pas ce que je lis d’habitude. Mais ce n’est pas de la lecture pour enfant dit donc !
C’est âpre . Il y a du sang !

Curieusement cela me fait penser à la Grèce antique ou à Rome.
Tu as tout de même une parcelle d’humanité puisque tu permets à Miriana de vivre
J’imagine qu’un jour l’enfant regrettera de lui avoir laissé la vie sauve.
C’est très bien écrit .
Pour le moment on ne sait qui est le maitre ni si le maitre et l’enfant sont le même personnage
ces mystères donnent envie de continuer la lecture, c’est probablement ce que je vais faire
Une petite remarque cependant.
Dans la première partie le mot enfant est trop présent . Il y a même un passage où le bourreau et la victime sont tous deux un enfant.
L’enfant de la ruelle qui pleure et plus loin l’enfant eut un sourire satisfait.
L’enfant de la ruelle c’est bien la fillette ?
Sinon l’ambiance y est . Je verrais bien Néron dire.
« Décidément, une bonne journée commençait. »
Tout en buvant du vin, manger des gâteaux au miel, et écoutant de la musique douce.
Je vais continuer à lire. Je veux savoir qui est le maitre , quel lien l’unit à l’enfant « sans coeur ».
Qui seront les deux élus ? Surtout comment la mort... laisse vivre?



Bonjour, Elora !
Ce n’est pas ce que je lis d’habitude. Mais ce n’est pas de la lecture pour enfant dit donc !
C’est âpre . Il y a du sang !

Curieusement cela me fait penser à la Grèce antique ou à Rome.
Tu as tout de même une parcelle d’humanité puisque tu permets à Miriana de vivre
J’imagine qu’un jour l’enfant regrettera de lui avoir laissé la vie sauve.
C’est très bien écrit .
Pour le moment on ne sait qui est le maitre ni si le maitre et l’enfant sont le même personnage
ces mystères donnent envie de continuer la lecture, c’est probablement ce que je vais faire
Une petite remarque cependant.
Dans la première partie le mot enfant est trop présent . Il y a même un passage où le bourreau et la victime sont tous deux un enfant.
L’enfant de la ruelle qui pleure et plus loin l’enfant eut un sourire satisfait.
L’enfant de la ruelle c’est bien la fillette ?
Sinon l’ambiance y est . Je verrais bien Néron dire.
« Décidément,une bonne journée commençait. »
Tout en buvant du vin, manger des gâteaux au miel, et écoutant de la musique douce.
Je vais continuer à lire. Je veux savoir qui est le maitre , quel lien l’unit à l’enfant « sans coeur ».
Qui seront les deux élus ? Surtout comment la mort... laisse vivre?
Etienne Ycart
Posté le 20/05/2021
Désolé, je ne comprends pas pourquoi mon commentaire s'est envoyé trois fois... J'ai essayé de le supprimer mais je n'ai pas l'impression qu'on puisse supprimer les commentaires.
Elora
Posté le 20/05/2021
Bonjour !
Oui, ce n'est pas une lecture pour un enfant de trois ans, les combats et les massacres sont de mises, mais il n'y en aura pas non plus à tous les chapitres !
L'Antiquité, j'en fait ma période préférée ! Je n'avais vraiment pas ça en tête, j’imaginais plus le Moyen-Age, mais on a tous notre façon de percevoir les choses. Est-ce qu'on peut appeler ça de l'humanité de laisser sa vie à Mirianna ? (Mais oui, je suis humaine, à 100/100 même.) Il aurait été plus bénéfique pour elle de mourir, car elle a le décès de sa famille sur la conscience, et ce qui va suivre va tout sauf être bien pour elle. Ah ça oui, l'enfant va le regretter amèrement, mais son choix était voulu, et c'était tout sauf par pitié qu'il l'a laissé vivre, il a une idée en tête, et il n'a (presque) rien d'humain. Je n'en dit pas plus, la suite se révélera au cours de la lecture.
Merci beaucoup, mes débuts étaient catastrophiques, mais j'ai pu m'améliorer grâce aux commentaires et aux encouragements, et l’entraînement facilite les choses.
Les questions. C'est ce que je cherche à déclencher dans l'esprit du lecteur, j'adore le mystère !
J'ai fait une petite relecture, mais il faut encore que j'approfondisse les choses, que j'arrange ce qui est à arranger. Les répétitions sont un de mes gros problèmes, j'essaye de faire du mieux possible et je sais que je peux encore m'améliorer. Je n'avais pas pensé que l'on pourrait confondre Mirianna et l'enfant du mal, il faut que je revois ce passage, mais oui, l'enfant de la ruelle est bien la fillette.
C'est exactement ce que Néron pourrait dire, après avoir fait tomber des têtes, et ceux toujours en mangeant. Je vois bien Commode dire ça aussi. XD
Les élus, les élus... C'est à voir, ça viendra plus tard, le mystère n'est pas fini. Je n'avais même pas remarqué le gros bazar que j'ai provoqué en disant que la mort laisse vivre, il y a peut-être des êtres plus puissants ou, si ça se trouve, quelque chose l'empêche de le faire...
Je n'en dit pas plus, pour le triple commentaire, ce n'est pas grave, et oui, c'est impossible à supprimer !
Etienne Ycart
Posté le 20/05/2021
Vivre et laisser mourir, c’est du James Bond ça…
continue comme ça
J’aime bien ton style
Les répétitions c’est relecture, relecture, relecture .
Je fais le malin là. Mais je passe parfois une(des) après-midi entière à trouver le bon mot le bon synonyme . Et parfois ,la HAINE, j’ai la phrase PARFAITE. Mais non le passage, ne va pas. Hop, la belle phrase, part à la corbeille. Mais tu dois connaître ça aussi.
Je te laisse . Je voudrais savoir pourquoi la terre tremble.

Freyja
Posté le 20/03/2021
Un début très intriguant. C'est bien, parce que ça donne envie de lire la suite pour comprendre, en savoir plus. Savoir qui est l'enfant, qui est le Maître... Donc au niveau de l'intrigue: bon point!
Pour le style, tu as déjà eu pas mal de conseil, je note juste une phrase, qui m'a un peu gêné: "Les lances s'enfonçaient dans le dos des gens, qui tombaient sans avoir compris ce qui leur arrivait et les lames des épées sifflaient et faisaient tomber des têtes.", trop de "et"! A vrai dire, la tournure est un peu lourde.... Par exemple: Les lances s'enfonçaient dans le dos des gens, ils tombaient sans comprendre d'où venait la mort. Les lames des épées sifflaient et faisaient tomber des têtes." C'est juste une idée. A toi de tourner la phrase comme elle te convient!
Elora
Posté le 31/03/2021
Bonjour !
Je suis contente que l'intrigue te plaise, et je retiens le problème avec cette phrase. je vais essayer de mieux la tourner !
Alba
Posté le 18/11/2020
Je découvre ton univers et j'adore le fait que nous sommes directement plongés au cœur de l'action ! Le contraste entre l'enfant et ses pensées / actions est tel qu'il donne vraiment envie d'en savoir plus ! Bonne continuation !
Elora
Posté le 25/11/2020
Bonjour !
Je suis contente que l'histoire te plaise, et que le changement entre les pensées et l'action marche.
Taranee
Posté le 16/11/2020
Salut !
Bon ben ça commence bien dis-donc !
Ta plume est très agréable, facile à lire. Le début de ton histoire m'intrigue.
Malgré tout, les répétitions du mot "enfant" m'ont un peu dérangée. Bien que ce soit fait exprès ( enfin je pense ), j'aurais aimé que tu changes de mot de temps en temps.
Elora
Posté le 18/11/2020
Bonjour !
Je suis contente que tu me dises que la lecture est facile, car au début, la fluidité ce n'était pas ça.
Pour les répétitions, je n'ai toujours pas corrigé, il faut que je m'y mettes !
Taranee
Posté le 18/11/2020
Bonne chance alors ! ( Car je sais que ce n'est pas facile et vraiment très très très ennuyeux )
Elora
Posté le 19/11/2020
Merci !
Quand il faut si mettre, il faut si mettre, même si c'est ennuyeux.
Voltage
Posté le 15/11/2020
Salut,
Comme d'habitude, avec trois mois de retard me voilà !
J'aime beaucoup l'univers de ton livre, ainsi que le fait que l'on ne connaît personne. Bref. Tout ceci donne un début très accrocheur !
Je n'ai pas grand chose à dire, excepté le fait que je serai ravie de lire la suite quand j'aurai du temps.
Elora
Posté le 18/11/2020
Bonjour !
A la sortie du livre ou un an plus tard, ce n'est pas grave, car bien que le temps passe, l'histoire n'a pas changé.
Et oui, j'aime beaucoup semer le mystère !
MariKy
Posté le 24/10/2020
Coucou Elora ! Je viens découvrir ton histoire après avoir lu ta présentation sur le forum. Belle introduction dans ton monde, j'aime beaucoup quand ça commence dans l'action, avec une ambiance bien glauque... C'est très accrocheur.
Tu t'en sors très bien sur le style, surtout au vu de ton jeune âge (je me sens vieille à côté, tu pourrais être mon élève !).
Un conseil pour la tournure des phrases : tu "racontes" plus que tu ne "montres", essaye d'être un peu plus dans la description directe, en invoquant tous les sens (pas seulement la vue et l’ouïe), pour plonger le lecteur dans la scène : évoque l'odeur du sang, la fumée, la chaleur… Réduis les phrases du type "il entendit que", "il vit que", qui alourdissent le texte.
Exemple : « L'enfant regarda autour de lui et vit une grande place éclairée par une lueur orangée, qui était recouverte de sang et de cadavre. Certains soldats s'étaient attardés, cherchant les fuyards. Bien, très bien. Les roues du char pénètrèrent dans le sang, se recouvrant de rouge, et l'enfant observa avec satisfaction le paysage. » => au lieu de dire qu’il est satisfait, montre-le : « L’armée débouchait sur une grande place éclairée par une lueur orangée, et l’enfant se fendit d’un sourire à la vue des cadavres qui s’empilaient. Le sang coulait sur les pavés, imprégnait les roues du char, et l’enfant inspira pour en remplir ses poumons. »
En tout cas, prologue très intriguant, ça donne envie d'en savoir plus !
Elora
Posté le 27/10/2020
Bonjour !
Merci beaucoup pour le commentaire, car après certain retour j'ai modifié ce chapitre et je suis contente d'avoir plutôt bien réussi.
Il faut dire que ça ne met même pas venu à l'esprit de décrire la chaleur ou encore l'odeur, et je compte bien appliquer ce conseil !
Pour les exemples, je vais en retirer certaines choses, notamment enlever les alourdissements et un peu plus décrire le paysage.
Troian.Leroy
Posté le 25/08/2020
Hey !

Le premier chapitre est plutôt bien. J'aime beaucoup l'univers dans lequel tu nous plonge, avec l'enfant comme antagoniste. Et c'est plutôt bien décrit. Il y a tout de même quelques bémols.

Ton style est très saccadé, ce n'est pas toujours agréable à lire et cela freine la lecture. Peut-être qu'en retravaillant quelques phrases ça permettrait de rendre l'ensemble plus fluide ! Ensuite, il y a beaucoup de répétitions. Une bonne relecture t'aiderait à tout de suite les repérer. Enfin, il y a beaucoup de saut à la ligne que tu n'accompagnes pas d'alinéa, ce qui est normalement indissociable.

Voilà pour mes remarques ! L'ensemble est vraiment encourageant ! J'irai lire la suite !
Elora
Posté le 25/08/2020
Salut !
Je suis contente que l'histoire te plaise.
Faire suivre les phrases n'est pas mon fort, mais je le fait quelques fois.
J'essaye de m'améliorer et de rendre la lecture plus agréable !
Les répétitions sont un problèmes, je vais arranger ça, et il faut que j'évite les sauts à la ligne.
J'espère que la suite te plaira !
Samy
Posté le 29/07/2020
Salut, c'est pas mal comme début !
L'idée qu'un enfant puisse être le "mal" est très bien trouvé et ça rend l'histoire encore plus complexe.
Si je puis me permettre, l'écriture est trop hachurée : tes phrases devraient être plus liées entre-elles pour donner plus de rythme.
Également, le tiret cadratin (utilisé pour les dialogues) n'est pas le "-" mais le "—" (tu peux faire Alt + 0151 pour l'avoir)
Petite note : tu a écrit "prologue" sans le P majuscule.
Voilà, bon courage pour la suite !
(✩ ์ ᴗ ์✩)
:-)
Elora
Posté le 29/07/2020
Salut !
Merci pour le commentaire et les astuces.
Le truc du tiret pour le dialogue je trouvais pas maintenant je vois où c'est.
Je vais essayer de moins hachurer.
Et je vais essayer de m'améliorer !
Vous lisez