Chapitre 02 🧹

Notes de l’auteur : 1er Septembre 1983

Pdv de Lyna

De bon matin, je préparais mes affaires. Il était environ six heures et demie du matin. Nous étions lundi. Je devais partir dans une demi-heure pour la gare de Londres. C'était la septième fois que je m'y rendais officiellement depuis maintenant sept longues années. Malheureusement pour moi, je devais aller à la gare de Londres sans mes parents. Ils n'avaient pas pu m'accompagner jusqu'ici étant donné leur métier. C'était trop beau pour être vrai ! J'aurai bien aimé les voir me soutenir jusqu'au quai neuf trois-quart pour un dernier au revoir pour quelques temps. Quand ils m'avaient annoncé qu'ils ne m'accompagnaient pas, j'ai su que je devrais affronter le retour à Poudlard seule.

J'appréhendais ce qu'il pourrait se passer, mais je n'oubliais pas de garder un espoir en moi, de rester positive quoiqu'il arrivr. Après tout, peut-être que tout se passera bien et que je n'aurai pas de problèmes. 

Après avoir pris un chariot comme à la coutume, je mis mes affaires dessus et me dirigeais vers le quai neuf trois quart. Je vis plusieurs familles marcher dans la même direction que moi, c'est-à-dire vers le mur en brique célèbre chez les sorciers. 

À ma grande surprise, et ce depuis des années, les moldus n'avaient jamais remarqué que certaines personnes arrivaient comme par magie - bon jeu de mots, d'ailleurs - à passer à travers ce fameux grand mur de brique. Personne, absolument personne.
Il faut être aveugle quand même, pensai-je.

C'était le cas de le dire ! Jusqu'à preuve du contraire, les moldus n'étaient pas aveugles du tout ! Tu parles, même un aveugle voit mieux qu'eux ! me dit ma conscience. Je pourrais presque dire qu'ils ne voient que ce qu'ils veulent vraiment voir, mais ce serait les prendre encore plus pour des idiots.

Je vis certains sorciers, suivis de près par des nouveaux, passer dans le mur. J'attendis que certains passassent avant de foncer à mon tour dans le mur et d'arriver devant le Poudlard Express. Je ne pouvais m'empêcher de ressentir un sentiment d'euphorie en le voyant à quai. Comme disait le professeur McGonagall, à notre arrivée à Poudlard, cette école sera une seconde famille, plus exactement : la Maison à laquelle on appartenait, mais c'était tout comme ! Dans les deux cas, je me sentais comme chez moi, c'était un peu comme si je n'étais pas partie de la maison. L'euphorie présente en moi me rappelait que je n'étais pas venue depuis deux mois. J'en étais ravie. Les appréhensions que j'avais avant de venir ont finalement disparu. L'ambiance magique de Poudlard était déjà au rendez-vous et j'en suis plus qu'émue. 

Une vingtaine de minutes après une longue attente pour monter et charger mes affaires, je m'assis sur une banquette dans une cabine et attendis que le trajet commence. À mi-chemin, quelqu'un toqua à la porte de la cabine. 

 - Excuse-moi ?

Je tourne la tête et vis un garçon que je ne connais pas, qui a l'air un peu perdu, d'à peu près de mon âge. 

- Je peux m'asseoir ? Il n'y a plus de places dans les autres cabines... 

- Oui, fis-je en tournant la tête vers la fenêtre. 

Je l'entendis marmonner un "d'accord" un peu gêné, mais je n'y faisais pas attention et me reconcentrais sur le paysage qui défile autour du train.

Ce n'était qu'au bout de quelques minutes que mon voisin de cabine finit par me parler. 

 Tu t'appelles comment ? demanda-t-il. 

- Lyna, et toi ? 

- Cody. Cody Evans. 

On se fit une poignée de main pour se saluer. 

 - Tu es Lyna Hawkings ? fit-il. 

Sa façon de me demander me parût étrange. Je ne savais pas du tout comment réagir face à cette interrogation. Le mieux que je puisse faire était de lui répondre : oui.

 - Eum... oui, tentai-je de dire.

Il hocha la tête doucement en me souriant timidement. Dans son regard, je sus qu'il avait compris mon inquiétude face à sa question.

 - 'T'inquiète, je ne suis pas là pour t'embêter. Je ne t'avais pas reconnu au début. 

Je me sentis un peu plus rassurée. Seulement un peu, car je restais méfiante vis-à-vis de cet inconnu, qui n'en était plus totalement un puisque je connaissais son prénom et nom. Logique.

- Tu es chez Serdaigle, c'est ça ? 

- Oui, fis-je en le regardant. 

Son allure était plutôt celle d'un garçon simple qui essayait d'être sympa avec tout le monde, comme pour avoir bonne impression. Ses cheveux bien coiffés et son visage légèrement enfantin faisaient de lui quelqu'un d'assez confiant, au final. Je ne savais pas dans quelle case le mettre. Était-il confiant, timide ou bien les deux en même temps ? Les trois possibilités se battaient en duel. Je n'arrivais pas à le cerner correctement.
Il hocha la tête et nous n'échangeâmes plus ensuite. Il se passa deux bonnes heures. 

Pendant une heure et demie, nous étions dans le train et nous avons déchargé nos valises. Durant la demi-heure, nous nous laissions guider par les carrosses qui nous amenèrent à Poudlard. Il faisait presque nuit et beaucoup étaient drôlement impatients d'arriver, tout comme moi.  

Le banquet se déroulait dans une heure et nous nous arrivions dans l'entrée où nos valises nous attendaient. Je pris mes affaires et suivis quelques Serdaigle jusqu'au dortoir pour ranger mes affaires. Je pris un instant pour regarder, autour de moi, les murs de Poudlard. Je ressentais encore ce sentiment d'euphorie quand je regardais l'architecture de mon école. J'en étais tellement fière que je pouvais respirer de bonheur et sourire face au bien-être que je ressentais actuellement. 

Une fois dans nos chambres, il ne se passait pas vingt minutes que le préfet de Serdaigle nous invitait à rejoindre la Grande Salle pour le banquet de début d'année. Cette fois-ci, c'était un peu comme courir pour ne pas rater votre train ou votre bus afin d'arriver à l'heure au boulot. Tout était accéléré et le seul moment où vous pouviez vous reposer, c'est quand vous allez dormir. Et encore, vous pouviez être stressé d'aller vous mettre au lit alors que c'était la meilleure chose sur cette planète. 
Bref, je parle trop.

J'arrivais dans la grande salle et me dirigeais vers le début des rangs, là où se trouvaient les premières places - celles qui étaient proches des professeurs -, en tout début de rang pour m'installer. Je bousculais par hasard un garçon qui était en plein milieu. Ils ne pouvaient pas se pousser et se mettre ailleurs ? Déjà qu'il n'y avait pas beaucoup de place pour passer...

Je saluais une de mes meilleures amies, jusqu'à lui faire ce que j'appelais le plus gros câlin du monde, chacune. Deux mois sans la voir étaient bien longs. 

 - Comment tu vas ? me demanda Julie.

Voici Julie Gunn. Elle était à Serdaigle, comme moi. C'était une blonde de taille moyenne aux yeux verts émeraudes remplie de qualités comme de défauts. Elle était le genre de fille qui vous défend dès que quelqu'un vous attaque. Elle était capable de devenir très cruelle avec les personnes qui enquiquinent ses amies. Elle m'avait bien aidé les derniers mois de ma troisième année et je ne la remercierai jamais assez pour sa gentillesse et sa bienveillance. Nous étions devenues amies pendant ce laps de temps et nous avions bâti une grande amitié toutes les deux qui s'était renforcées quand nous avions découvert que nos mères travaillaient ensemble. 

- Je vais bien, et toi ? 

- Cool. Moi, ça va, j'ai passé de super vacances. J'espère que toi aussi. 

Ah oui ! Elle était aussi très, très bavarde. Un moulin à parole qui me faisait chaque jour rire. 

 - Lyna ! cria une voix derrière moi. 

 Je me tournais et vis mes deux autres meilleures amies. La première, Mary Nelson courut dans mes bras comme une folle et me serra dans ses bras. 

 - Comment vas-tu ? demanda-t-elle. 

 - Je vais bien, mais tu me serres un peu trop. 

 - Ah, oups, désolé. C'est juste que je suis trop contente de te voir ! 

Mary Nelson. Ce petit bout de femme était la vitamine de notre quatuor. C'était une jolie brunette aux yeux marrons et à l'allure d'une femme confiante en elle. Le terme "Petite, mais costaude" la définissait très bien. Il ne fallait pas se fier aux apparences quand on la voyait, car on risquait d'être assez surpris de voir ce dont elle était capable. Une vraie Poufsouffle en la matière. 

- Lauren, fis-je en la prenant dans mes bras. 

Elle s'éloigna de moi et me sourit. Lauren Page était le genre de personne peu bavarde, mais qui, quand elle était en désaccord ou a quelque chose à dire, disait ce qu'elle a à dire. Elle était très observatrice. Son côté hard-working nous montrait bien qu'elle fait partie de la maison Poufsouffle. 

- Allons nous asseoir, c'est l'heure du banquet. 

Je m'assis avec Julie et ainsi que mes camarades de Serdaigle et discutait un instant avec elles... et eux avant que Dumbledore ne prenne la parole. Il me fit un signe de tête et commença son discours de bienvenue. On eut le temps de voir les nouveaux élèves arrivèrent avant d'entendre le discours Dumbledore. Le banquet se termina deux, trois heures après. Nous avions passé un excellent repas. La salle était aux trois quarts vide. Nous continuions de discuter un peu avant de finir par sortir de la salle petit à petit. Je dis bien "petit à petit", car nous marchions de façon lente et démesurée. Un coup, nous nous arrêtions, un coup nous continuions de marcher comme si de rien n'était. 

 - Allez, Serdaigle et Poufsouffle, filez dans vos dortoirs ! ordonna notre Préfet. 

 Avec le peu d'attention que nous avions pour le reste des gens autour de nous, je finis par foncer dans quelqu'un sans le vouloir. 

 - Pardon ! nous fîmes en nous tournant en même temps. 

 On se regarda longuement pendant un instant. Je le reconnus dès que je le vis et me redressais aussitôt. Je passais mes mains sur ma robe et le dévisageais. 

 - Je suis désolé de t'avoir foncé dedans... 

Je vous présente une des personnes qui faisaient partie du groupe d'harceleurs durant mes trois premières années: Matthew Wilson. Il me faisait drôlement de l'effet à l'époque, pour ne pas dire l'année dernière. Il en avait joué et n'avait même pas eu le cran de réagir, c't'imbécile. 

 Je l'observais attentivement et le détaillais du regard: il avait rasé ses cheveux sur les côtés de son crâne. Sur le dessus de sa tête, ses cheveux blonds frisés étaient plus longs qu'avant et tombaient doucement sur son front. Ses yeux bleus - j'en avais oublié qu'ils étaient magnifiques - faisaient battre mon cœur une fois de plus. C'était une espèce de bleu électrique ou bleu saphir selon la lumière. Je fondais face à autant de beauté. Il avait drôlement changé, cela faisait quelques mois que je ne l'avais pas vu et... il était irrésistible... Non Lilly, Résiste, résiste...Et sa robe de Serdaigle lui allait comme un gant. 

Il est toujours aussi beau, pensai-je. Non, Lyna, tu ne peux pas te permettre de penser une telle chose, me dit ma conscience. 

 - Je ne suis pas autant désolée que toi.Je vis dans son regard qu'il comprit très vite que je n'avais aucunement envie de discuter avec lui, mais il me demanda quand même. 

 - Euh... comment tu vas depuis? Me demanda-t-il timidement.

Je regardais derrière moi et vis que mes amies commençaient à se poser des questions. 

 - Tu t'en préoccupes maintenant? lui demandais-je. 

 Et je partis sur le champ, sans même lui adresser un seul regard, pour rejoindre mes amies le plus vite possible. Malheureusement, de toute façon, il était à Serdaigle comme moi et je vais devoir me le coltiner en cours très souvent. Autant l'éviter le plus possible, n'est-ce pas ? 

Pdv inconnu

Le banquet de début d'année était le meilleur moment de l'année: celui où tu retrouvais tous tes amis, tes anciens camarades de classe de ta maison ou ceux qui n'y étaient pas.C'était toujours un moment joyeux et agréable où nous pouvions passer des heures à parler de nos vacances, à s'écouter les uns les autres sur nos différentes activités faites pendant l'été. 

Je n'avais pas fait grand-chose de mon côté.Bon, ok, j'ai trouvé un travail à temps partiel, mais le reste du temps, je ne faisais pas grand-chose. Bouquiner, lire, regarder la télé étaient mes activités préférées. Je n'ai rendu visite à personne, je n'ai vu personne.De vraies vacances d'été où tu ne fais rien et ne croises pas un chat dans les rues, sauf quand tu vas faire tes courses à la supérette du quartier. 

C'était... palpitant, c'est le cas de le dire. 

 Je vis un de mes potes au loin et le rejoins. Je vous présentais mon meilleur ami, Cody. Nous étions devenus amis pendant la deuxième année, quand j'ai intégré l'équipe de Quidditch au début de ma scolarité à Poudlard. Ce mec n'était pas le genre de gars à rester sérieux très longtemps, il avait toujours un truc de drôle à dire, peu importe les situations. Quelques fois, ce n'était pas le bon moment. Quelques fois, quand on ne le connaît pas, ces blagues pouvaient être mal interprétées, mais il avait bon cœur et il s'excusait toujours quand ses blagues ne plaisaient pas. Ces cheveux bruns mal coiffés me faisant penser à quelqu'un qui venait de se lever. Les valises qu'il a sous les yeux me montraient qu'il n'a pas dû beaucoup dormir cette nuit. Le reste de sa tenue - couleur rouge, comme Gryffondor - est propre. Seule, sa coiffure laissait à désirer. En revanche, je ne pourrais jamais lui reprocher d'être minutieux que ça soit avec sa robe de sorcier ou ses vêtements. 

- Tu vas bien, mec? fis-je en lui faisant une accolade. 

- Yes, Sir ! fit-il en prenant son accent écossais. 

 J'ai oublié de préciser qu'il est écossais. Une fille passa à côté de moi et me bouscula doucement. Quand je la regardais, elle me fait penser à quelqu'un, de dos. Je ne savais pas qui exactement, mais elle me rappelait quelqu'un. 

 - Tu as vu un fantôme ou quoi ? rit mon pote. 

 - Ah, non, rien, j'ai cru reconnaître quelqu'un, mais ce n'était pas la bonne personne! lui répondis-je en levant les yeux au ciel. Bref, tu as fait quoi pendant les vacances ? lui demandai-je en le prenant par l'épaule. 

 Pendant un bon moment, il me raconta toutes ses vacances jusqu'à ce que Dumbledore nous demanda de nous asseoir et ainsi laisser place au discours. Cody retournait à sa table de Gryffondor et moi à Serdaigle. 

 - Je me demande ce que le vieux va encore nous dire, fit un Serdaigle à côté de moi. 

Plusieurs heures après, nous terminons le repas. Entre temps, un ami, à moi, Austin Kirby est venu s'installer avec moi et nous avions fait comme si on ne s'était pas quitté. On avait beaucoup raconté les mille et une anecdotes qui nous sont arrivées pendant les vacances. Austin était un ami de longue date dont la mère était banquière et le père était le plus haut supérieur parmi les Aurors

Austin était le dernier de sa fratrie de trois frères et sœurs qui avait déjà quitté Poudlard. Avec le brouhaha de la grande salle, je n'avais pas entendu ce que ses frères et sœurs faisaient dans la vie.J'aimais bien Austin, mais parfois ce mec est d'un ennui... Pourtant, nous n'étions pas tous comme ça à Serdaigle. Nous n'étions tout ce que nous voulions, mais nous ne n'étions pas ennuyeux. Les traits de caractère dans cette maison étaient, je dirais, assez simples : curiosité, intelligence, sagesse, c'est le plus important et créativité et originalité. 

Pour, moi, le choixpeau magique avait mis un peu plus de temps avant de se décider, car je possédais des qualités que peu de Serdaigle avaient : le courage, la bravoure qui étaient les qualités d'un véritable Gryffondor.Dès la fin du repas, nous nous levons pour regagner nos dortoirs. À mi-chemin, je me rendis compte que j'avais oublié ma montre dans la grande salle que j'avais posée sur la table pendant le repas. 

Quel idiot ! C'est un bijoux de famille, en plus! Enfin, bon... qu'est-ce que la famille en réalité ? 

Je marchais rapidement jusqu'à la rangée de Serdaigle.
Je bousculais quelqu'un violemment sans m'en rendre compte. Je posais une main sur mon épaule pour contenir la douleur et me tournais vers la personne en question. 

 - Pardon ! nous fîmes en nous tournant en même temps. 

Je me redressais et la regardais attentivement. Cette fille, je la connaissais... C'était cette fille que mon ancien groupe de copain et moi avions beaucoup embêtée, Lyna Hawkings. Je n'aurai jamais cru qu'elle reviendrait terminer ses années à Poudlard.Pendant qu'elle passait ses mains sur sa robe, je pris le soin de m'excuser de l'avoir poussée. 

 - Je suis désolé de t'avoir foncé dedans... 

 J'ai du mal à décrire la façon dont elle me regardait. Est-ce qu'elle me dévisage ou reste bloquée sur moi ? Je n'avais pas besoin de me poser mille et une questions pour me dire qu'elle me dévisageait. 

 - Je ne suis pas autant désolée que toi, me répondit-elle. 

 Sa réponse me faisait comprendre qu'elle n'avait pas très envie de discuter avec moi. Après les horreurs que je lui avais faites avec mon ancien groupe, je comprenais qu'elle puisse réagir de la sorte. Qui serait assez fou pour ne pas réagir comme elle l'a fait ? Dites-moi, qui ? 

 - Euh... comment tu vas depuis ? je demande timidement. 

 Elle regarda un instant derrière. J'imaginais que les filles qui se trouvaient un peu plus loin étaient ses amies. Elle finit par se tourner vers moi et me répondit d'une façon inattendue. 

 - Tu t'en préoccupes maintenant ? fit-elle. 

 Je n'eus pas le temps de répondre qu'elle partit sur le champ. Je ne pouvais pas lui en vouloir de me répondre de cette manière. Elle devait croire que c'est pour me moquer d'elle que je lui posais la question. Elle devait penser que je faisais encore partie du côté des méchants.Je secouais la tête et ramassais ma montre sur la table avant de rejoindre mon pote qui devait m'attendre dans le couloir. J'espérais que tout ceci pourrait s'arranger, car cette dernière année devait se passer dans les meilleures conditions.
Ainsi, soit-il.  

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Rayondesoleil18
Posté le 22/03/2023
Ah ! Le mur du quai neuf trois-quart ! THE véritable problème existenciel enfin souligné par quelqu'un ! Ca fait du bien ! XD
La touche d'humour fait plaisir à voir à l'intérieur d'un sujet aussi sérieux. Cela permet de s'attacher de plusieurs façons différentes au personnage, ce qui renforce encore plus l'attachement en général.
elliascott
Posté le 10/03/2022
Merci pour ce bon moment, j'ai juste une petite remarque sur le fait de présenter un à un le métier des parents, les activités, le caractère etc (en gros) ce serait "mieux" d'éviter les passages présentation en longueur!

à part ça, excellent chapitre, y'a du potentiel et je lis la suite avec grand plaisir !
Eloïse Shin
Posté le 12/03/2022
Je trouvais important d'expliquer la profession des parents pour la suite, mais pour le reste, il est vrai que j'aurai pu le formuler autrement ^^"

Merci beaucoup pour ton retour, cela me fait énormément plaisir ! :D
elliascott
Posté le 12/03/2022
Pas de problème, je continuerais à lire bientôt et merci de pas l'avoir mal pris (merci de l'avoir pris comme une critique constructive!!)
Hugo Melmoth
Posté le 16/07/2021
Re !

Encore un chapitre très bien écrit, mais je reprend le message d'Abby pour la montre. Si elle est électronique, ce n'est pas possible. ^^
Cela reste un beau chapitre, j'ai adoré retourner au Poudlard Express, j'aime moi aussi l'alternance des points de vue, j'ai hâte de lire la suite de ton histoire. :)

H.M.
Eloïse Shin
Posté le 31/07/2021
Je te remercie, ravie de savoir que ça t'ait plu !
J'espère que la suite te plaira :)
Abbyleplume
Posté le 25/06/2021
Une chouette lecture ! J'ai aimé retomber dans le Poudlard Express, sur son quai, sur le château tout ça. Un plaisir ! 2/3 petites choses m'ont chafouiné :
- déjà quelques termes font très ado et pas assez jeune adulte de 17ans (enquiquiner par exemple)
- une montre à Poudlard ? Il me semble que les objets électroniques n'ont pas leur place, ou alors peut être préciser qu'elle ne fonctionne pas vu l'aura magique des lieux

En tout cas l'alternance des points de vue est très chouette ! J'espère que ça apportera un vrai plus au cours de cette histoire :)
Eloïse Shin
Posté le 31/07/2021
Je vais corriger ça, merci à toi pour ces précisions :)
Romanticgirl
Posté le 06/06/2021
J'ai bien aimé ce chapitre. C'est agréable de retrouver le retour à Poudlard dont tu décris bien toutes les étapes : le quai, le train, le voyage, le banquet, les dortoirs, les retrouvailles avec les amis,... J'aurai peut-être fait un autre chapitre pour le changement de point de vue. Quelques remarques stylistiques :
- "étant donné leur métier. " à cause de leur métier
- "C'était trop beau pour être vrai !" Cela aurait été trop beau pour être vrai
- "à la coutume", de coutume ou à l'accoutumée
Bonne continuation !
Eloïse Shin
Posté le 21/06/2021
Merci beaucoup, c'est très gentil à toi :)
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