J’oscille.
J’avance dans cette existence comme une ombre. Je tue comme un loup. Un loup de légende. Un monstre sanguinaire n’ayant plus rien d’humain. Est-ce que j’y prends plaisir ?
Je ne sais pas. Je n’ai peut-être pas envie de le savoir. Je n’ai pas envie de réfléchir non plus. C’est trop. Trop humain, trop fatiguant, trop tard.