Une matinée effrayante

Notes de l’auteur : Ceci est un vieux texte que j'ai écrit qui datent de quand j'était aux collèges en 4ième , il n'avait pas pour but d'être complet . Je le laisse ici afin d'évité de le perdre. Je vous souhaite une bonne lecture =)

Il etait 5 heures du matin.Je me suis levé précipitamment car j'avais fait un cauchemar horrible. Je descendis et j'allai boire un verre d'eau pour me calmer ; j'entendis alors un drôle de bruit dans la cave : je m'enfonçais donc peu à peu dans l'obscurité. Plus je descendais, plus le son était fort. Or, mon père me disait souvent que "la curiosité est un mauvais défaut" mais j'étais tellement curieux que je ne pouvais m'empêcher de penser à cette chose qui rugissait. Cela me donnait des frissons qui me traversaient le corps.

Je suis arrivé au fond de la cave et je ne savais pas où je mettais les pieds. La pièces était à peine éclairée par la faible lueur du lever du soleil. La vitre était ouverte, alors je décidai de la fermer. Je me suis dit que c'était peut-être le vents qui faisait ce son effrayant mais je sentis alors une présence roder dans les parages : je voyais une silhouette , elle était de très grande envergure. J'essayai de m'approcher en douceur pour éviter de l'attirer vers moi mais l'erreur était faite: la bête tournas la tête vers moi, j'aperçus ses yeux rouges !

Je me mis à courir à une allure impressionnante mais la bête me rattrapa peu à peu. J'aperçus la porte. Plus que quelques mètres , et... Je pus réussir à l'enfermer de justesse ! Elle continua férocement à attaquer la porte, je me mis à la recherche d'un objet qui pourrait soit l'assommer soit la tuer, la porte n'allait pas tenir très longtemps, on l'entendait craquer sous le poids de l'animal ; je pris une casserole, la porte était prête à céder, je pris tout mon courage et une fois que l'animal fut libéré, elle s'avança peu a peu puis je fis un bond et  lui donnai un coup : elle fut assommèe.

J'allumai la lumière et j'observai les détails de la chose. Elle était d'une telle envergure qu'elle faisait deux fois ma taille. Elle ressemblait a une espèce de lion à tête de cobras avec le torse ouvert où l'on  voyait tous ses organes internes. J'eus beau essayer de couper l'un de ses organes vitaux , je ne pus réussir. Cela était aussi dur que de découper du béton armé. Alors je la traînai par terre jusque dans sont logement et en condamnai la porte. heureusement qu'il y avait de quoi la murer dans le bric-à-brac de la cave ! 

Alors une fois le travail fini, j'ai croisé les doigts pour que mon père revînt de paris ce soir-là.J'etais tellement fatigué que je me suis endormi sur le canapé en espérant que la bêtes reste toujours de l'autre cotée de la porte .
 

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Μέδουσα
Posté le 15/04/2021
Je comprends cette nécessité de poster un texte sur internet pour ne pas le perdre, c'est ce que je fais aussi en ce moment ^^

Ton personnage a vraiment des raisonnements et des réactions étranges ; il entend un rugissement chez lui, il est seulement animé par de la curiosité ; et ensuite, quand il arrive à l'assommer, il essaye de lui couper les organes vitaux ? Ca m'a fait beaucoup rire ! Surtout quand, par la suite, il fait tranquillement une sieste sur le canapé !
Something
Posté le 15/04/2021
je te remercie pour ton commentaire ^^.

Je vais t'avouer quand je l'ai relus pour le réécrire sur PA, j'en ai pas mal rigolé aussi .
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