Poème Introductif

Chaque tunnel qui, de par ses propriétés cache l'horizon,

Qui nous oriente sur une voie à sens unique et impénétrable,

Les seuls échos étrangers qui puissent nous parvenir sont ceux de la compassion.

C'est à toute allure qu'une fois la lumière entrevue nous réalisons n'être qu'un grain de sable.

 

Composant le tissu de l'étendue immense

Que forme l'union de multiples visions hors de notre perception.

Elle mêle ainsi le bon et le fourbe sans attente d'absolution,

Pour qu'ainsi s'agite le vivant et que prenne forme cette divine danse.

 

N'est-il pas plus simple de respirer que de voir ?

N'est-il pas plus sensé de penser que de chercher la gloire ?

 

Moins il y a de paroles, et plus elles sont affûtées.

Moins il y a d'esprit, et moins il y a de place pour la volonté.

 

Nos doutes peuvent ainsi nous laisser nous croire voyous.

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