Notes de l'agent Stanislas Vangbird, Deuxième Jour.

Par Cynwale

SOLDAT DE L'OPERATION RECKON : Stanislas Vangbird / DEUXIEME JOUR

 

Bon, je me suis décidé de quitter cette pièce, pas seulement par ce que les chiottes sont bouchées et que ça pue sévère mais surtout car je n'ai pas envie de moisir ici à rien faire, comme vous devez vous en douter, j'ai survécu à l'extérieur et j'ai bien fait d'avoir quitté la salle de sécurité vu que au moment où je suis parti la brume est entrée.

 

Dehors, un massacre, du sang partout et quelques morceaux de cadavres, monstres, animaux et humains, tout le monde est mort, je ne suis en revanche pas le dernier survivant, j'ai pu entendre mes collègues à la radio mais les informations n'étaient pas rassurantes, apparemment ils auraient percé la super porte du Passage, ce qui veut dire que tout les étages supérieurs sont désormais en danger, ils vont probablement tenter de confiner les principaux canaux pour empêcher les monstres d'infiltrer les zones Civiles non infectées.

 

Je peux déjà dire que ça ne va pas marcher, comme ce type de la télévision l'avait dit, le Gouvernement n'a pour seule solution que de faire construire étage sur étage sur étage, même eux finiront par devoir admettre que les ressources de fabrication nécessaires coûtent de plus en plus chère, l'entretien du Biodrome est a lui seul notre seule réserve d'oxygène, d'eau et de nourriture potable mais ils ont déjà songé à l'abandonner jusqu'à ce que les nobles leur disent que s'ils font ça, on est tous mort.

 

Je n'ai jamais eu de famille, mais si j'en avais eu une, j'aurais préféré qu'elle ne vive pas assez longtemps pour voir cette catastrophe dans laquelle nous devons vivre aujourd'hui, je n'imagine même pas l'horreur que doivent supporter les parents en imaginant que si l'armée tombe, leurs enfants mourront inévitablement.

 

Les scientifiques estiment nos chances de survie a moins de 5%, qu'ils aillent se faire cuire un oeuf même s'ils ont raison car je refuse de mourir juste par ce que l'Espace nous à envoyé des erreurs de la Nature sur la gueule, l'Humanité a déjà combattu bien pire par le passé j'en suis sûre et nous avons toujours résisté, nous allons exterminer ces vermines et les boutter hors de notre planète Terre!

 

Bon, si vous voulez savoir ou je me trouve maintenant c'est simple, loin des monstres et derrière eux, je vais tenter de  suivre la progression des créatures pour rejoindre mes collègues et combattre à nouveau ensemble en espérant que je ne sois pas infecté, sinon je devrais me suicider, enfin si ça marche, par ce que ces trucs n'ont pas l'air d'avoir besoin  de cerveau pour vivre et il faudra donc que je trouve un moyen de m'arracher le coeur en espérant que ces choses ne peuvent contrôler les morts, sinon on est bien dans la merde.

 

Allez je m'arrête là.

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Edouard PArle
Posté le 05/11/2021
Coucou !
La situation se dégrade très nettement dis-donc ! Je me demande comment le soldat va s'en sortir (s'il s'en sort^^).
Je me demande qui sont leurs ennemis dont on sait finalement assez peu à part "monstres".
Quelques coquilles :
"j'ai bien fait d'avoir quitter la" -> quitté
"vu que au moment je suis parti la brume est entrée." -> au moment où je suis parti
Bien à toi !
Cynwale
Posté le 05/11/2021
Re-bonjour Edouard.

L'histoire étant assez courte, tu le sauras très bien tôt.

Pour les corrections, je m'en charge, merci de ton commentaire car d'habitude je ne sais pas où sont mes erreurs.
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