Parfois, dans la nuit noire,
Je me prends à rêver,
Le cœur rempli d’espoir,
D’un embryon lové.
Oubliant le mal logé
Dans l’antre de mon bassin,
Je rêve d’une grande famille,
Sur un joli dessin.
Réveillée par mes peurs,
Je me laisse submerger
Par la peine, la douleur,
De ne pouvoir créer.