Ainsi se termine le second volet des Chroniques d’Alaakrïpé.
Mais Pierre, lui, ne s’arrêta pas en si bon chemin avec ses amis, car notre trio mena à bien une demi-douzaine de missions avant que Stanline ne songe à prendre du repos et qu’il ne se mette à travailler pour l’Agence Pour la Diversité Dans le Monde d’Alaakrïpé. Il en devint le directeur adjoint, succédant à l’ancien.
Il vécut plusieurs centaines d’années...
Un jour, oui, il remit un pied dans le monde Interdit.
Il découvrit que James Dashner était devenu politicien et militant écologiste, que son ancienne entreprise vendait à présent des perceuses (la Grunning’se) et que sa femme de ménage (qui avait disparu quelques jours après être allée à Alaakrïpé ) avait totalement oublié cette histoire et s’était mariée avec le directeur de la Grunning’se. Femme au foyer avec un fils de un an.
Ce fut la dernière fois que Pierre Stanline passa la frontière des deux mondes.
Quels mondes, me demandez-vous ?
Mais avez-vous bien lu l’ensemble des chapitres des Chroniques ?
Oh, vous, je pense qu’il va vous falloir reprendre depuis le début !
Avez-vous au moins retenu le nom Alaakrïpé avant de fermer ce livre ?
Non ?
Oh, oh... Je vous conseille d’ouvrir de nouveau le premier volet, La Pierre de Plancton, avant de relire Le monde Interdit !
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Merci à vous d’avoir lu ces Chroniques jusqu’au bout.
Vous n’êtes que deux, peut-être trois ou quatre, fervents lecteurs, mais je tiens à vous remercier pour vos commentaires et encouragements qui m' ont accompagné tout au long de l’écriture de mes deux romans, tout au long de ces huit derniers mois.
Cela fait maintenant un an que j’écris les Chroniques d’Alaakrïpé. Ces Chroniques ont surgi d’un simple sujet de rédaction de sixième, l'écriture de la suite d'une histoire débutant par une phrase imposée : "Je gagnais le cœur de la forêt avec mes amis bordelais lorsque je perçus, au loin, une lumière vive qui m’intrigua." Si l’on relit le prologue de mon premier roman, l'on remarque d’ailleurs que j’ai repris ce début au mot près (seul « bordelais » a disparu dans les limbes…).
Mais je parle beaucoup trop de moi…
Pour clôturer cette note, je pense qu’il ne me faudra que trois mots. Le premier est simple : "Merci". Les autres sont plus singuliers, mais je pense que vous comprendrez.
"Encore ?"
"Bientôt..."