Chapitre 4, le saut

Par Makara
Notes de l’auteur : Mise à jour du 26/08

Un bruit discret, mais persistant attira l’attention d’Alya. Perchée sur le toit-terrasse de son immeuble, les cheveux balayés par le vent artificiel et le visage éclairé par une lumière opalescente, ce bourdonnement familier la tira de ses songes.

L’engin, ovale et transparent, se posa sur la terrasse de l’immeuble voisin. Un jeune homme s’extirpa de la bulle et renvoya son moyen de transport avec un geste brusque. Alya, qui dominait la scène de plusieurs mètres, arrima son regard à ses pas et ses réactions. Que faisait-il sur ce toit si tôt dans la matinée ? Était-il du genre à voguer sur les terrasses et à affronter le vide, un peu comme elle ? Non. Le jeune homme semblait égaré dans cette immensité vitrifiée, ce labyrinthe de verre aux reflets solaires et aux tours miroitantes. Il tanguait sur ses jambes.

Le cœur d’Alya s’accéléra, un mauvais sentiment l’étreignit. Il n’admirait pas la vue, au contraire, le sol le fascinait. Elle commença à traverser la terrasse, doucement, tel un prédateur. Le garçon tournait maintenant en rond, la tête dans les mains, les épaules baissées, le visage déformé par le désespoir. Une odeur âcre plana autour de la jeune femme. La sienne. L’angoisse se propageait et accaparait ses sens. Elle persista dans son avancée, réfléchissant à toute allure sur la conduite à tenir. Elle réagit soudain lorsque le garçon s’approcha dangereusement du bord.

— Hé toi ! Qu’est-ce que tu fais ?

Le jeune homme leva les yeux et la fusilla du regard.

— Ne bouge pas ! J’arrive ! s’écria la jeune femme en se laissant glisser le long de l’échelle avec agilité.

Elle courut jusqu’au pont jouxtant les deux immeubles quelques mètres plus bas. Son cœur battait à tout rompre sous l’emprise de la peur et de la course. La terrasse se dessina peu à peu dans l’aube. De loin, elle ne distinguait aucune silhouette. Une boule se forma dans sa gorge. Elle combla la distance qui la séparait du gouffre et poussa un soupir de soulagement. Il n’avait pas sauté. Le garçon, à peine plus jeune qu’elle, se dressait près du vide comme un orant de chair dans une position qui rappelait les prières de l’Ancien temps. Il ne s’aperçut pas tout de suite de sa présence.

— Ne fais pas ça, supplia Alya, les mains levées devant elle.

— Pars ! Je n’ai pas besoin d’audience ! ordonna le garçon sans la dévisager.

Alya resta immobile. Ses pensées tournoyaient violemment dans son esprit. 

— Tu sais que tu vas entraîner ta famille dans ta chute ?

— Je sais. C’est mon but.

— Je suis sûre qu’il y a d’autres solutions… Ne fais pas ça, la Cité aura gagné sinon…

— Ma famille m’a condamné. Ils auraient pu m’accepter chez les Patrouilleurs. C’est ce que je voulais faire. C’est ce que j’ai toujours voulu faire, murmura-t-il d’un ton grave, comme mon père et comme mon frère. Mais ils m’ont fait échouer… Ils ont honte de moi. Je vais leur donner une bonne raison d’avoir honte, menaça-t-il en serrant les poings.

Son visage suintait le désespoir, ses yeux rouges accentuaient ses cernes, ses lèvres tremblaient. Alya se rapprocha imperceptiblement.

— Tu sais, j’ai été en colère toute ma vie, comme toi. Mais je suis sûre que l’on peut changer les choses ici !

Un rire sarcastique saisit le garçon. 

— Je ne veux pas changer le système. Je souhaitais servir la Cité. En me refusant cette fonction, ils me rendent inutile. Mon frère m’avait juré que je réussirais les épreuves, continua le garçon englué dans son raisonnement, juré ! Tout ce qu’il a trouvé à faire hier soir, c’est de me donner cette satanée pièce ! À quoi sert-elle ? À rien ! Je suis une coquille vide, un robot…

Le garçon lança rageusement l’obole en question dans le vide.

Alya s’était figée, la coïncidence lui semblait trop grande.

— Moi aussi j’ai trouvé une pièce ! hésita-t-elle en sortant de sa poche l’étrange objet.

Le jeune homme ne lui accorda pas un regard. 

— Tant mieux pour toi si ça t’intéresse. Ce n’est pas mon cas.

À ces mots, il se tourna face à l’abîme et fit un pas. Alya s’élança vers lui. Le corps du garçon bascula de la terrasse. Ses vêtements se gonflèrent sous la pression du vent et, pendant un infime instant, il sembla suspendu dans les airs. Alya tenta de le rattraper, elle émit un gémissement d’horreur lorsque ses doigts se refermèrent sur du vide. Sa vue se brouilla. Le corps n’était déjà plus visible. Des cris percèrent la nuit et des lumières étincelèrent un peu partout. Alya se recroquevilla sur elle-même en serrant la pièce dans son poing. La porte de l’ascenseur s’ouvrit brusquement. Ils savaient déjà. Une cohorte de patrouilleurs surgit sur le toit. Alya jeta un coup d’œil dans les environs : il n’y avait aucune issue. Prise au piège, elle attendit que l’un des patrouilleurs pose son pouce sur son front. Une lumière vive traversa les pupilles d’Alya et elle perdit connaissance.


 

*      *

*

Lorsque la jeune femme ouvrit les yeux, elle se trouvait dans une petite salle sombre. Une ampoule nue libérait une lumière évanescente sur les murs rouge grenat de la pièce. Cette couleur du sol au plafond donnait une forte impression d’étouffement. La tête lui tourna, elle n’aimait pas les endroits petits et clos, encore moins aussi moites et suffocants. La table en fer en face d’elle lui parut successivement immense puis minuscule. Elle ferma les yeux et contrôla sa respiration comme le lui avait appris sa mère. Ses membres étaient endoloris, sa bouche humide, mais elle se souvenait de tout. Les patrouilleurs ne lui avaient pas enlevé de souvenirs.

Elle jeta un regard craintif autour d’elle. Si les patrouilleurs l’avaient amenée ici, cela n’annonçait rien de bon. La dernière fois qu’elle avait atterri dans cet endroit, sa grand-mère avait dû faire jouer toutes ses relations pour la libérer. Une porte s’ouvrit derrière elle. Elle ne se retourna pas. L’individu resta immobile pendant quelques minutes puis avança pour lui faire face. C’était un patrouilleur d’un certain âge, la soixantaine passée, le front dégarni, les traits sévères, probablement un Génome 14. Son veston de patrouilleur avait une couleur rouge plus cendré que les autres. Il devait être gradé.

— Alya Aménabi ? demanda-t-il sur un ton glacial. 

Alya ne répondit pas tout de suite. Il savait très bien qui elle était. Toute la Cité la connaissait.

— Oui. C’est bien moi.

Le patrouilleur la dévisagea longuement.

— Fille de Éline Erouac et de Valek Aménabi, dit l’Étranger ?

— Oui, répondit-elle sans baisser les yeux.

— Te revoilà dans nos quartiers…

— Ce n’est pas comme si j’avais le choix, lui fit remarquer la jeune femme.

Les traits du patrouilleur se durcirent. Il émit quelques bruits de bouche. Alya, pour se donner du courage, se répéta qu’il ne pouvait pas lui faire de mal. La violence était prohibée sur Mallaig et même les forces de l’ordre ne pouvaient l’utiliser. Bien entendu, ils abusaient de violence psychologique et de retrait de points de performance, mais elle y était habituée.

— Toujours insolente à ce que je vois… Je pensais que ta grand-mère t’avait domptée. C’est ce qu’elle scande à qui veut l’entendre.

Alya serra les dents d’énervement.

— Je ne crois pas être un animal, monsieur… Pour quelle raison suis-je ici ? Après tout, je n’ai rien fait de mal ! 

Le représentant de l’ordre se leva et fit craquer ses articulations, le corps tendu comme un arc. Malgré elle, un frisson parcourut la jeune femme. 

— Que faisais-tu à cette heure matinale seule sur les toits ?

— Je m’y promenais. C’est un endroit apaisant pour moi. J’ai l’habitude d’y aller quand je n’arrive pas à dormir.

— Pourquoi as-tu besoin d’être apaisée ? Tu es en colère ? Tu es malheureuse ?

Les questions de l’homme étaient débitées avec flegme. Alya avait envie de lui hurler son mal-être au visage, sa fureur, son désespoir d’être privée de ses souvenirs, de vivre perpétuellement les mêmes journées comme une spirale infernale, mais il n’en aurait cure et elle risquait de mettre en danger sa famille. La déprogrammation que craignait sa grand-mère ne devait pas devenir une réalité.

— Je suis très heureuse, préféra-t-elle dire avec une voix plus douce. Ma famille m’importe beaucoup. Je ne suis plus en colère. J’aime seulement me promener sur les toits, seule avant d’aller travailler.

— Tu sais que ce jeune homme était un Génome Quatre ?

— Non, je l’ignorais. C’est la première fois que je rencontrais ce visage.

Le patrouilleur ne semblait pas la croire.

— Peut-être l’as-tu poussé ? Dans l'espoir que ta famille puisse récupérer son double !

Alya se figea, l’idée la révulsa, lui provoqua presque immédiatement une irrémédiable envie de vomir. Elle déglutit et rétorqua avec amertume :

— Vous voyez le mal partout. Ce matin, il y avait ce garçon et j’ai essayé de l’aider… Au lieu de me remercier, vous m’interrogez… Comme toujours dans cette cité, on ne sait pas si les principes sont une réalité ou un leurre.

Sa dernière phrase se perdit dans un murmure, mais elle sut immédiatement qu’elle n’aurait pas dû franchir ses lèvres. Le patrouilleur se retourna brusquement, les pupilles dilatées et les joues en feu devant une telle audace. Alya, terrifiée, se tassa sur sa chaise.

— Le problème, jeune femme, c’est que tu ne connais pas ta place ! tonna-t-il. Tu ne te rends pas compte de la chance que tu as… Nous t’avons laissé vivre parmi nous alors même que tu n'es pas une recyclée ! Pendant dix-huit ans ! La Cité aurait pu te bannir après la désertion de ton père. Nous avons été cléments et voilà comment tu nous remercies ? En remettant en cause nos principes ? Nos lois qui assurent la survie de la cité, mais aussi de l’humanité toute entière ? Quel outrage ! Cent points seront enlevés à ta famille.

Les larmes montèrent aux yeux de la jeune femme. Elle s’en voulait. Il avait raison, elle devait apprendre à tenir sa langue. L’homme se rassit et se força à faire de longues inspirations. 

— Que t’a dit ce garçon ? 

— Presque rien, chuchota Alya en baissant la tête, juste qu’il avait perdu le goût de vivre… Et il a sauté.

— C’est tout ? A-t-il mentionné autre chose ?

Alya fut soudain envahie par une vague de panique : la pièce. Se trouvait-elle encore dans sa poche ? Elle ne pouvait vérifier devant le patrouilleur.

— Alors ? reprit l’homme qui s’impatientait.

— Il a juste dit qu’il se voyait comme un robot…

Un bip retentit. Le patrouilleur lut le message qui s’affichait sur sa montre. Il pianota sur le bureau durant sa lecture.

— Mon supérieur pense qu’il est temps que tu prouves ton allégeance à la Cité et à ses dogmes. Un jumelage serait un bon commencement.

La jeune femme écarquilla les yeux, elle ne s’attendait absolument pas à une proposition de ce type.

— Je ne sais pas si je suis prête, murmura-t-elle en déglutissant la nouvelle.

— Tu as trois mois, rétorqua le Patrouilleur avec un sourire narquois.

— Que se passera-t-il si je ne choisis personne ?

— Nous choisirons, bien sûr, répondit-il avec délectation.

Alya sentit son sang se transformer en glace. Merveilleux.

— Est-ce que je peux partir ? demanda-t-elle d’une petite voix.

— Oui, mais à l’avenir, je te conseille de rester chez toi. Nous n’avons pas que cela à faire. Je te laisse le souvenir de ce qu’il s’est passé, cela t’enlèvera peut-être l’envie de te promener là où tu ne dois pas être…

Alya ne put retenir un rictus ironique. Trop aimable. Le patrouilleur lui désigna la porte. Elle s’y engagea, tremblante d’une rage trop longtemps contenue.


 

*       *

*

Quand elle revint à son appartement, sa mère l’attendait fébrilement dans le fauteuil. Elle avait dû choisir de ne pas aller travailler.

— Que s’est-il passé ? l’interrogea-t-elle, l’angoisse transperçant sa voix.

— Tout va bien, ne t’inquiète pas. J’ai tenté de dissuader un garçon de se suicider. Ça n’a pas marché. Les patrouilleurs en ont fait toute une histoire comme d’habitude.

Sa mère l’entoura de ses bras et la serra fort contre sa poitrine.

— Alya, tu m’as fait tellement peur. Comment fais-tu pour te mettre dans des situations pareilles !

— Ah, aucune idée, le talent peut-être, plaisanta-t-elle en s’extirpant des bras maternels.

Le visage de sa mère lui sembla plus creusé que d’habitude, ses mèches blond terne, et ses épaules lourdes. À cet instant, elle avait l’air ascétique, frêle, brisée. Une âme broyée par le système ayant pour seule lumière sa fille. Parfois, Alya ressentait l’amour sans limites de sa mère comme une oppression bien plus forte que la société de Mallaig, cela l’enchaînait toujours plus à cette ville qu’elle haïssait. Son cœur se serra et cette pensée emplit son cœur de tristesse.

— Ah, oui. Au fait, je dois me jumeler bientôt. J’ai trois mois pour le ou la trouver.

Éline la dévisagea, ahurie.

— Mais normalement ce n’est pas une obligation avant l’âge de vingt-huit ans.

— Je suis une exception comme toujours ! railla la jeune femme avec un rictus triste.

Sa mère resta un moment silencieuse, le regard dans le vague. 

— Si seulement j’avais des souvenirs de ton père. Tu pourrais le rejoindre où qu’il soit.

— Oui, si seulement, murmura la jeune femme en rassemblant ses affaires.

— Il est vivant Alya, je le sais. Il est à l’Extérieur, insista Éline.

— Oui maman. Je n’en doute pas. Mais je ne me rappelle rien de lui, comment pourrais-je un jour le reconnaître ?

— Avec ça, chuchota sa mère en faisant glisser subtilement la manche droite de la tunique de sa fille.

Sur l’épaule d’Alya, on apercevait un symbole. Trois lignes ondulantes se suivaient, rappelant le passage de la mer sur le sable.

— Il a le même, ce Sillage est ton indice. Il disait que chaque ligne représentait une cité. 

Alya hocha la tête, elle connaissait cette histoire. Sa mère la lui racontait souvent, mais il lui manquait beaucoup de détails. Le bip-bip de sa montre sonna. Elle déposa un baiser rapide sur la joue de sa mère.

— Je dois y aller maman, je vais finir par perdre tous mes points de performance et si ça arrive, tu sais avec qui je vais me disputer par la suite. 

— Oh oui, je sais. Vas-y.

Alya referma la porte de l’entrée en soupirant. Que n’aurait-elle pas donné pour savoir à quoi ressemblait son père...


 

*      * 

Six heures s’étaient écoulées depuis son retour à la ferme verticale. Alya essayait de combler son retard en faisant des heures supplémentaires. Elle était seule, pourtant la concentration la fuyait. Elle n’arrêtait pas de voir en boucle l’image du jeune homme disparaissant dans le vide. Pour une fois, elle aurait bien souhaité que ce souvenir lui soit enlevé. Elle se sentait vide et profondément en colère. Furieuse contre ce monde qui la discriminait, contre sa grand-mère, contre le patrouilleur qui l’avait interrogée et aussi contre ses fragments d’existence volés. Combien de temps allait-elle supporter cette vie ? Elle avait l’impression d’avoir atteint la limite. Le silence de la pièce fut brisé par le coulissement de la porte d’entrée. Un jeune homme en tenue bleue entra. Son regard balaya les étages de la ferme verticale avant de se poser sur Alya. La tenue bleue symbolisait l’appartenance à la communauté scientifique de Mallaig. Le visiteur s’avança dans sa direction ; il n’avait pas une démarche très assurée, comme s’il n’avait pas le droit d’être là.

Il s’arrêta à un mètre d’elle. Grand, quasiment autant qu’elle, il devait avoir la vingtaine. Il possédait des cheveux noir de jais, des yeux bridés et des traits plutôt doux. Alya ne reconnut pas tout de suite son génome, elle avait dû seulement en apercevoir un ou deux comme lui. Génome neuf, peut-être ?

— Vous vous appelez bien Alya ?

Sa voix avait la clarté d’une lame sur une roche. Une de ses mains se posa près d’une plante, cherchant le contact. Ses doigts étaient maculés de taches d’encre. Cela intrigua immédiatement la jeune femme. Plus personne n’en utilisait à Mallaig.

— Oui, c’est bien moi, confirma-t-elle doucement.

— Je m’appelle Jun. Vous avez tenté de sauver mon frère ce matin.

Il avait annoncé la nouvelle hâtivement comme s’il voulait se débarrasser de cette entrée en matière embarrassante. Alya se pétrifia. Elle resta silencieuse sous le choc de la nouvelle. Elle n’avait pas imaginé une seule seconde rencontrer la famille du garçon. Cela la mettait particulièrement mal à l’aise et l’attristait. Pourquoi venait-il la voir ? Que pouvait-elle bien lui dire...

Ils se dévisagèrent un instant, gênés.

— Je suis désolée pour vous, murmura-t-elle. J’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir.

— Je sais, déclara le jeune homme d’un ton posé, et je vous en suis reconnaissant, mais ce n’est pas pour des condoléances que je suis ici.

Elle le fixa sans comprendre. Il semblait maîtriser ses émotions, car il ne paraissait pas bouleversé par la disparition de son frère. 

— Avez-vous la pièce ? reprit-il après une minute.

— Quelle pièce ? chuchota immédiatement Alya.

Sur le même ton, il lui rétorqua : 

— Ne faites pas l’enfant. Celle que vous avez trouvée hier matin dans la plante.

— Je n’étais pas censée savoir à qui elle était destinée… maugréa Alya en sortant l’objet de son pantalon.

Le jeune homme le récupéra dans un mouvement rapide. Il l’examina, constatant son authenticité.

— Vous pouvez la garder. C’est un laissez-passer. Cela vous permettra de nous rejoindre. J’organise une expédition pour que nous puissions partir d’ici.

Les yeux du scientifique s’attardèrent sur le visage d’Alya pour décrypter chacune de ses réactions. Elle passa de l’inquiétude à la stupéfaction. Partir de la cité ? C’était donc possible ?

— Et si je ne souhaite pas m’enfuir ?

— Alors c’est que je me suis mal renseigné sur vous et il faudra faire disparaître cette pièce le plus vite possible. Vous seriez en danger le cas échéant.

— Vous en avez donné une à votre frère aussi.

— Cela n’a pas eu l’effet escompté, répondit-il avec une moue attristée.

Le scientifique lui déposa la pièce dans la main et se rapprocha d’elle. Dans un murmure, il ajouta :

— Vingt-trois heures mercredi prochain, bâtiment P, numéro 1030, dernier étage, porte 66. Ne prévenez personne. Je le saurai sinon.

Sur ces mots, il tourna les talons, son ombre s’éloigna et il finit par disparaître dans le sas de décontamination. Alya tenta de calmer son cœur trépidant. Elle se répéta les numéros plusieurs fois pour ne pas les oublier.

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Joren
Posté le 27/08/2021
Wow bravo pour cette intrigue qui commence très vite ! Avalanche de mystères. Tout est maitrisé. Hâte d'être plus dans l'intrigue. Vivement mercredi prochain (dans l'histoire). Alya va-t-elle obéir à l'homme en ne parlant à personne ? J'imagine que non mais ça compromet tout après. Bien vu l'idée des pièces sincèrement.
Makara
Posté le 28/08/2021
Recoucou ! C'est vrai que j'essaie de faire décoller l'histoire assez vite, en même temps, je n'ai pas trop le choix vu mon nombre de personnages !
C'est parfait si cela fonctionne :)

"Alya va-t-elle obéir à l'homme en ne parlant à personne ? J'imagine que non mais ça compromet tout après" => Ahaha, tu verras :p
A bientôt sur ton histoire ou sur la mienne ;)
Joren
Posté le 28/08/2021
Grave. Bon allez je fonce sur le prochain chap. J'en peux plus là.
Louison-
Posté le 20/02/2021
Que des mystères ! Et pour rebondir sur mon commentaire de tout à l'heure: je confirme, la mise en place de l'intrigue n'est pas trop longue, elle est même idéale, puisqu'après un début introducteur de 3 chapitres, on passe déjà à des événements causeurs de trouble ! On est de plus en plus intrigués ;)
Et autre remarque que je me suis faite pendant la lecture: je trouve que tu gères assez bien le départage entre description-dialogue-action-pensées des personnages, on n'a pas une surabondance de l'un sur l'autre ^^
Et sinon encore j'apprécie que tu utilises bcp de termes propres à la Cité et que tu ne les expliques pas tout de suite, comme si tu partais du principe que le lecteur connaissait déjà le monde et vivait dedans, ça nous embarque encore plus dans l'histoire !

Et juste petite note au sujet de l'apparition du dernier personnage: je trouve juste un petit peu étonnant qu'on veuille déjà rallier Alya à l'expédition. La cité a tout de même un mode de fonctionnement très coercitif, sûrement qu'on trouve des traitres un peu partout, alors si quelques personnes organisent un groupe de résistance, ne devraient-ils pas avoir pleinement confiance en leurs membres? comment être sûr qu'Alya ne les dénoncera pas? Bien sûr le perso' dit qu'il s'est renseigné au sujet d'Alya, on comprend qu'elle a été surveillée à son insu, mais ça me semble quand même trop précipité? enfin je verrai avec la suite, mais voilà c'est juste que sur le moment ce trop plein de confiance m'a surpris. Alya pourrait très bien dénoncer aux autorités Jun, le risque qu'il a pris en la contactant comme ça me parait gros.
Makara
Posté le 20/02/2021
Coucou Louison ! Merci pour ce long commentaire ! Tu me rassures en me disant que tu trouves la mise en place idéale ! J'ai déjà envoyé Sillages à quelques maisons d'édition et j'ai eu plusieurs retours (négatifs) mais argumentés comme celui de PKJ qui me disait que l'intrigue était un peu longue à démarrer. Bref, j'ai changé deux/trois choses et là tu as la dernière version^^
En ce qui concerne l'immersion et les termes propres à la cité, j'ai fait le pari de ne pas expliquer les mondes tout de suite, tu verras dans le chapitre 6, tout s'éclairera :).
En ce qui concerne ta dernière remarque sur le fait que Jun fasse confiance à Alya, tu verras pourquoi par la suite !
Rien n'est laissé au hasard dans cette histoire ;)

Pleins de bisous volants <3
Makara
Louison-
Posté le 21/02/2021
Oh chouette si tu as pu envoyer à qql maisons ! Et aujourd'hui ça en est où? Tu attends d'autres réponses? :) ou tu prévois un nouvel envoi tout bientôt?
Alors je me réjouis de lire ce chapitre 6 ;)
Et concernant Jun: d'accord je verrai et te redirai ! ^^

Haha merci plein de bisous volants à toi aussi ! <3
Makara
Posté le 21/02/2021
J'en suis toujours au même point, j'attends ! L'année dernière, les maisons d'éditions ont reçu beaucoup de manuscrits ! Plus de 6000 pour certaines, alors je vais attendre encore longtemps je pense !
Bonne lecture !
Louison-
Posté le 21/02/2021
Ah oui ça fait un sacré paquet de manuscrits ! Courage alors, et ne désespère pas, je suis sûre qu'un jour ça aboutira sur un livre papier <3 Avec le peu que j'ai lu, je vois bien que ton roman est un roman de qualité, dont on sent qu'il a été travaillé et non bâclé, alors vraiment je ne doute pas qu'un jour les comités de lecture/lecteur lambda des maisons retiendront ta perle au milieu de tous ces autres manuscrits !
Sklaërenn
Posté le 27/12/2020
Pauvre garçon :'( son frère ne le connaissait-il donc pas assez pour savoir que c'était une mauvaise idée ? Pourquoi à-t-il l'air si "détaché'' pour sa mort ? Et la pauvre qui se fait entraîner la dedans, accuser et se retrouver obliger de faire quelque chose qu'elle ne veux pas alors qu'elle voulait juste l'aider :/
Makara
Posté le 27/12/2020
Je crois que tu as maintenant les réponses à tes questions ;)
Ne t'inquiète pas, ils vont bientôt quitter mallaig 😉. Bonne lecture !
Eryn
Posté le 17/09/2020
Le garçon se tue pour entraîner sa famille dans sa chute ? C’est pas très malin ! Il a pas trouvé d’autre moyen pour les mettre dans l’embarras ? Il n’aurait pas pu s’enfuir tout simplement ?
OK les réponses à mes questions arrivent après. Du coup je suis encore plus intriguée. Pourquoi le frère du garçon qui s'est tué pour "entrainer sa famille dans sa chute" vient-il l'aider ? Pourquoi s'enfuir ? Pourquoi l'autre s'est-il tué ? J'ai envie de savoir tout ça !
Makara
Posté le 19/09/2020
Coucou Eryn !
Je suis contente de voir que tu continues ta lecture !
En ce qui concerne Mallaig, dans le chapitre 6, tu auras des réponses à tes questions, là je garde le mystère sur le fonctionnement de la ville mais tu vas comprendre les mécanismes bientôt :)
Merci de ton passage et à bientôt <3
Eryn
Posté le 19/09/2020
Ah pas de souci ! Oui, je vais poursuivre la lecture, je suis désolée de ne pas avancer très rapidement, mais j'aime beaucoup ton texte ! C'est juste qu'avec les vacances, puis la rentrée, j'ai pas eu beaucoup de temps ! ;-)
chlo.k
Posté le 30/05/2020
Je relève juste ce qui me semble être une petite faute d'orthographe ! Au moment où Alya discute avec le garçon sur le point de se suicider, il dit en début de phrase " Ma famille m'a condamnéE "
Makara
Posté le 31/05/2020
Merci pour la coquille, je vais verifier si elle n'est pas déjà corrigée dans ma version word (la version que tu lis n'est pad la plus récente, il doit rester quelques coquilles et quelques phrases mal-tournées. A bientôt pour la suite :p
Aeliana
Posté le 28/02/2020
ordonna le garçon sans la dévisager. -> Sans la regarder, peut être ?
Dévisager reste assez particulier et précis, je le vois mal employé de cette façon ^^'

Tente ta chance à l’Extérieur par exemple. -> je croyais qu'elle avait toujours cherché une sortie au chapitre d'avant sans la trouver, et là tu nous qu'en fait il est possible de partir ?

On se demande aussi comment l'homme sait que la pièce permet de partir, alors que ton personnage elle ne le sait pas.

Si seulement j’avais des souvenirs de ton père. Tu pourrais le rejoindre où qu’il soit. -> oh la tristesse !
Ce qui m'étonne c'est qu'ils ne lui fassent pas croire qu'il était méchant ou autre, vu qu'ils effacent tout souvenir de lui...

Le visiteur s’avança dans sa direction, il n’avait pas une démarche très assurée comme s’il n’avait pas le droit d’être là. -> je ne sais pas si tu as modifié, mais il y a un soucis de rythme ici ^^

Le jeune homme dans un mouvement rapide le récupéra. -> De même ici. Et pièce est féminin, petit oubli !

Ne prévenez personne. Je le saurai sinon. -> La fameuse phrase où on sait très bien qu'il ne le saura pas avant d'être dans la merde, hehe.

Je ne comprend pas trop l'italigque de la fin, car on peut croire aux pensées de la jeune femme, mais finalement le temps ne convient pas.. C'est dommage.

Toujours intéressant et intriguant, du reste !
Makara
Posté le 28/02/2020
Re-coucou Aeliana ! Oh je suis ravie de voir que tu enchaînes les chapitres <3 ça me fait très plaisir !
Alors en effet, là tu as relevé des éléments que je ne suis pas sûre d'avoir modifié, je vais aller voir :p
"Tente ta chance à l’Extérieur par exemple. -> je croyais qu'elle avait toujours cherché une sortie au chapitre d'avant sans la trouver, et là tu nous qu'en fait il est possible de partir ?"=> En effet, c'est un reste d'ancien dialogue, je ne suis d'ailleurs pas sure de l'avoir changé.
"On se demande aussi comment l'homme sait que la pièce permet de partir, alors que ton personnage elle ne le sait pas."=> ça tu as du le comprendre avec le lien de parenté à la fin, entre celui qui s'est suicidé et Jun^^
"Je ne comprend pas trop l'italigque de la fin, car on peut croire aux pensées de la jeune femme, mais finalement le temps ne convient pas.. C'est dommage."=> Si, il s'agit bien des pensées d'Alya à ce moment là, peut-être qu'il faut que je revois le temps alors^^
"Toujours intéressant et intriguant, du reste ! "=> Bon tant mieux ! Là, tu vas commencer à rentrer dans l'action :) J'espère que la suite va te plaire !
DylanLuka
Posté le 09/09/2019
Hello! Bon j'ai lu ce chapitre il y a quelques jours pour être honnête donc je ne me souviens pas des détails... En revanche la fin m'a mis un peu sur le cul, ça y est on plonge bien dans l'histoire (et c'était rapide), ça promet pour la suite !
J'avais juste noté ça : "cela t’enlèveras peut-être l'envie de te promener là où tu ne dois pas être..." - > t'enlèvera*
Sur ce, je vais lire la suite !
Makara
Posté le 09/09/2019
Coucou Dylan :)
Merci pour ton com ! Oh je suis ravie si la fin t'a mis sur le cul^^ héhé ! Au moins ça donne envie de lire la suite :)
Merci pour la coquille ! Elle est belle !
J'espère que les chapitres suivants vont te plaire !
Sache que je ne t'oublie pas ! J'ai hâte de reprendre la lecture de ton roman ;-)
A bientôt !
Bisous volants
tiyphe
Posté le 23/08/2019
J'ai encore beaucoup aimé ce chapitre, Alya est vraiment très intéressante et ton univers est assez original (ce qui n'est pas forcément facile de nos jours !)

"L'angoisse se propageait comme l'air marin qui accapare les sens."
-> Est-ce que tu peux parler d'air marin dans une cité qui semble ne pas vraiment connaître ça ? Si j'ai bien compris sachant qu'avant tu parles de "vent artificiel".

Il y a effectivement une belle amélioration visible entre les deux- trois premiers chapitres et celui-là. Tu écrits vraiment bien, j'en suis jalouse ahah!

Je ne sais pas si tu vas expliqué l'histoire des génomes, on en entend parler depuis le premier chapitre sur Alya et ça m'intrigue de savoir à quoi ça correspond, j'ai une vague idée, mais je ne suis pas certaine, du coup ça me dérange un peu. Sauf si c'est expliqué à un moment ^^

"Un jumelage serait une bon commencement."
-> un* bon commencement

"et ses épaules lourdes. A cet instant,"
-> Le vilain double espace entre le . et "A"

"rappelant le sillage de la mer sur le sable.
- Il a le même, ce sillage est ton indice."
-> la répétition est dommage, tu peux sûrement trouver un autre mot que "sillage" dans la description pour après le nommer ainsi par la mère.

"Pour une fois, elle aurait bien souhaité que ce souvenir lui soit enlevé."
-> Ça a quelque chose d'horrible qu'elle pense ça alors que plusieurs de ses souvenirs lui ont été enlevé, ça me rend triste :( (simple commentaire de la scène, rien à changer ici)

Je me suis toujours posée la question Comment les protagonistes des films/séries/livres/etc... faisaient pour retenir une information lâchée comme ça à l'arrache dans une conversation secrète à voix basse xD
Je m'imagine à leur place avec ma mémoire en carton "Merde, il avait dit 23h30 ou 23h ? mercredi là ou la semaine prochaine ? Il pouvait pas me l'écrire plutôt ?"
Mdr, voilà ça m'a fait penser à ça la fin xD

C'est toujours un plaisir de te lire !
Makara
Posté le 23/08/2019
Re-coucou :)
Bon ça me fait vraiment plaisir que tu accroches à l'histoire et à mon style ! merci !
"Est-ce que tu peux parler d'air marin dans une cité qui semble ne pas vraiment connaître ça ?"=> Techniquement non. Mais j'aime bien la phrase... lol
Tu écrits vraiment bien, j'en suis jalouse ahah!=> Oh merci, ça me touche <3
"Je ne sais pas si tu vas expliqué l'histoire des génomes, on en entend parler depuis le premier chapitre sur Alya et ça m'intrigue de savoir à quoi ça correspond"=> Oui, oui ne t'inquiète pas, j'explique cette histoire de génomes dans le prochain chapitre avec Jun. C'est plutôt complexe donc je ne voulais pas mettre ces infos avant !
"la répétition est dommage, tu peux sûrement trouver un autre mot "=> Bah là je fais exprès d'insister car c'est tout de même le nom du bouquin^^ lol.
Oui c'est vrai que la pensée d'Alya sur son souvenir non enlevé est triste :)
Et t'inquiète Alya a une bonne mémoire ;-)
"C'est toujours un plaisir de te lire !"=> C'est réciproque
Pleins de bisous ! A bientôt !
tiyphe
Posté le 24/08/2019
"Est-ce que tu peux parler d'air marin dans une cité qui semble ne pas vraiment connaître ça ?"=> Techniquement non. Mais j'aime bien la phrase... lol
-> Ahah je te comprends tellement xD

Pour les génomes -> D'ac, cool j'ai hâte de savoir à quoi ça correspond alors !

"la répétition est dommage, tu peux sûrement trouver un autre mot "=> Bah là je fais exprès d'insister car c'est tout de même le nom du bouquin^^ lol.
-> Alors oui du coup my bad xD J'avais évincé cette information de mon cerveau #CommeAlya
Léthé
Posté le 21/08/2019
OH MAIS OUI QU’ELLE SERA CAPABLE D’ABANDONNER SA MÈRE ICI ! Attends, la nana a autant de compassion qu’un radis, je commence même sérieusement à me demander pourquoi le père d’Alya s’est mis avec xD Peut-être qu’il voulait faire une expérience ou que c’était une histoire d’un soir !

Bon, Jun est le prochain sur la liste de mes fanarts, même si je ne sais pas s’il a les cheveux courts ou longs, j’improviserai

Tout s’enchaîne assez vite au final, je pense qu’on ne va pas avoir le temps de souffler ! J’étais trop étonnée que le mec se suicide aussi, je pensais qu’elle réussirait à le sauver xD J’ai pas trop compris comment les patrouilleurs savaient qu’elle l’avait pas poussé dans le vide. Beh ouais, ils sont arrivés après, ça pouvait bien être un meurtre !

Bon allez Alya, sors de cet endroit pourri xD
Makara
Posté le 21/08/2019
Roooh tu ne peux pas savoir à quel point je suis contente que tu enchaînes les chapitres <3
"Attends, la nana a autant de compassion qu’un radis, je commence même sérieusement à me demander pourquoi le père d’Alya s’est mis avec xD Peut-être qu’il voulait faire une expérience ou que c’était une histoire d’un soir !" => Il y a une raison baby.
Bon, Jun est le prochain sur la liste de mes fanarts, même si je ne sais pas s’il a les cheveux courts ou longs, j’improviserai => Il a les cheveux courts :p
Tout s’enchaîne assez vite au final, je pense qu’on ne va pas avoir le temps de souffler ! => Oui les chapitres sont assez longs mais j'essaie de mettre pas mal d'actions. L'histoire doit avancer aussi car j'ai pas mal de persos tout de même^^
"J’ai pas trop compris comment les patrouilleurs savaient qu’elle l’avait pas poussé dans le vide. Beh ouais, ils sont arrivés après, ça pouvait bien être un meurtre ! "=> Bah écoute, cela ne m'a pas traversé l'esprit ! Je pourrais en effet le faire suggérer par le patrouilleur, cela mettrait encore plus Alya en rogne^^
Bon allez Alya, sors de cet endroit pourri xD => T'inquiète, cela ne va pas tarder^^
Je file répondre à tes autres coms <3
Stella
Posté le 24/11/2018
Chapitre 3
Nous revoilà à Mallaig avec Alya et son lot d’actions. Tu maintiens le lecteur sur un fil tendu au-dessus du vide. Chapeau.
« La dernière fois qu’elle avait atterri dans cet endroit »>ce souvenir n’a pas été effacé ? La pièce rouge est donc une sorte de stade supérieur dans l’échelle d’intimidation des patrouilleurs, s’ils laissent leurs souvenirs aux gens.
Oh comme Jun est intrigant. Dis donc, il a un sacré recul pour quelqu’un qui vient de perdre son frère. Ce qu’il se passe derrière cette porte 66 doit être sacrément important !
Bon, je n’ai pas encore compris le concept des génomes, mais ça ne saurait pas tarder ;) Concernant le recyclage je ne sais pas : ils finissent en terreau pour la serre ? Où une même âme vit plusieurs vies ?
 
Peccadilles :
Tu utilises les italiques pour les pensées internes et les concepts attention : ça peut prêter à confusion.
à très très vite 
<br /> 
Makara
Posté le 24/11/2018
Re-re coucou :)
Tu me gâtes avec tous cette avalanche de commentaires :) Merci merci !
Oui il y a beaucoup d'actions dans ce chapitre pour continuer à accrocher le lecteur, après je me calme... lol
En ce qui concerne la mort du frère de Jun. Ce n'est pas vraiment du recul dont fait preuve Jun mais plus du refoulement ;-)
Allez je file répondre à tes autres commentaires :p 
GueuleDeLoup
Posté le 20/11/2018
Coucou Makara! Me voilà, comme convenu!
Du coup, pas de réélle surprise pour moi aujourd'hui vu que j'ai relu les trois chapitres que j'avais déjà lu lors des Histoires d'oret que je n'avais pas commenté à l'époque parce que tous les textes se mélangeaient dans ma tête.
Alooooors pour moi il y a des aspects négatifs et positifs à ton texte.
D'abord, j'aime beaucoup les disopies, mais c'est très à la mode en ce moment et du coup, je crois que c'est plus difficile de faire son chemin (car plus de concurrence). Le point fort de ton texte pour le moment ce sont ces différentes cités, qui montrent des formes de mondes totalitaires complètements différents  (Quoique Etioli ne peut pas être considéré comme complètement totalitaire?) et ce fameux effacement de la mémoire et donc des personnaliés, des singularités, qui est vraiment une idée terrifiante qui me fait frissonner de plaisir devant mon écran. 
En revanche, comme Elia2000 (j'ai jeté un oeil aux commentaire pour me donner une idée du ressenti général), je trouve que certains aspect de la violence sont dommage. En tant que lecteur, ça marche un peu moins sur moi, alors que l'effacement de mémoire, c'est terrible.
A ta place, je laisserai la scène où on fouille dans les affaires de ayla sans considération, mais j'enlêverai le crachat. Idem pour les insultes dans le chapitre 3. Le mépris et la violence sont toujours plus glaçant sous couvert de bonnes manières.
Alors je ne sais pas si tu l'a envisagé, mais je trouve qu'une scène où un personnage se réveillerait avec des bleus sans que ni lui ni lecteur ne sâche par qui et pourquoi serait vraiment marquante. 
Les petites remarques en plus:
Chapitre 2:
- "Il vivait sur les hauteurs dans son Palais", je mettrais une virgule en rab: "Il vivait sur les hauteurs, dans son Palais"
- "Elle le fixa surpris avant d'apercevoir les gardes du Kâ traverser le marché d'un bon pas.", "Elle le fixa, surprise, etc..."
-"Son teint tanné par le soleil laissait deviner les longues heures de travaux harassants qu'il devait effectuer chaque jour. Ses cheveux mi-longs, bruns, coiffés en de multiples tresses lui donnait un air bougon et vagabond. Ses yeux noisettes accrochaient le monde autour de lui sans vraiment s'y intéresser." Cette description est faite de trois phrase au rythme répétitif, tu devrais en lier au moins deux par un "et" pour briser la monotonie du rythme.
Chap 3:
- "Au fond de moi, je sais que je vais trouver une solution, une voix à suivre.", "une voie à suivre"
-  "- Ne faîtes pas l'enfant. Celle que vous avez trouvée hier matin dans le pot en terre.<br /><br />- Donnez-la moi."
Il me semble que c'est le même personnage qui dit ces deux tirades, donc le fait d emettre deux tirets est perturbant pour le lecteur. De plus plus loin dans le dialogue, Jun dit:
"- Vous pouvez la garder. C'est un laisser-passer.
Il veut qu'elle lui donne ou pas? Il faut être clair , Jun! :p  il pourrait plutôt dire: "Vous l'avez gardée?"
 
Voilà pour les petite boulettes/remarques. En tout cas je suis bien curieuse desavoir ce qu'il arrive aux femmes ainsi que de connaitre le sens du fameux symbole en forme de sillage. 
Je te fais des poutoux et je te dis à bientôt!
 
Loupette
Makara
Posté le 20/11/2018
Coucou Loupette !
C'est super de te (re)voir par ici :)
Merci pour ton retour pour ces trois premiers chapitres, il est très intéressant ! 
En effet, mon monde possède trois cités complétèment différentes, si l'une d'entre elle est bien un cité totalitaire (Mallaig), Etioli s'apparente plus à une monarchie absolue (tu découvriras un peu plus son fonctionnement dans le chapitre avec Nohan - d'ailleurs, je suis sure qu'il va te plaire ce perso :p), en soi ce n'est pas spécialement horrible de vivre à Etioli sauf lorsqu'on est une fille ou qu'on s'appelle Nohan...
Je note tes idées vis-à-vis des gestes violents et des insultes c'est vrai que ça je peux le changer. Il faut que je réfléchisse car comme tu le verras par la suite, la violence physique est interdite sur Mallaig autant pour les Patrouilleurs que pour les habitants, les mots et l'effacement de mémoire sont donc leurs seuls moyens pour soumettre la population (j'avoue que ce n'est pas clair dans les chapitres sur Alya, je peux voir pour le préciser...) . C'est pour cela que ta proposition sur le réveil d'un des personnages avec des bleus n'est pas plausible au début. Par la suite, étant donné que les choses vont se corser sur Mallaig, cela pourrait être très intéressant :). Merci de l'idée en tout cas !
Merci aussi pour tes remarques de ponctuation et les coquilles :)
Bon maintenant, j'ai hâte que tu découvres la suite :p
Pleins de bisous volants 
Elia
Posté le 27/09/2018
Coucou !
Je dois avouer que malgré mes chipotages (non ne me déteste paaaas), y a quelque chose qui me fascine dans ton histoire. Ton univers est prenant, intrigant et j'ai plein de questions qui bouillonnent dans ma tête !
Pour commencer avec ce qui me gêne (ça reste subjectif), c'est l'attitude des Patrouilleurs. En fait, et je suppose que c'est voulu, ils m'apparaissent comme des gros énervés, des rustres. Alors pourquoi pas, mais j'ai un peu le sentiment que c'est forcé, que c'est pour montrer qu'ils sont méchants, alors qu'à mon sens, il n'y a pas besoin d'insister. Le système est tellement glauque. M'enfin, c'est que mon avis !
Alya m'exaspère un peu, mais bon, qui s'énerverait pas d'avoir une grand-mère comme la sienne et de perdre ses souvenirs ?
Bref, sinon, j'aime beaucoup. Ton monde est vraiment intrigant, avec le recyclage, le jumelage. Et tant de questions, avec son père qui est parti (a-t-il fui ? Je l'ai compris comme ça). Le coup du suicide du garçon pour punir sa famille est très intéressant aussi, ça rappelle que pour beaucoup, c'est un acte de lâcheté, d'abandon. Le fait de punir la famille d'un criminel me rappelle un peu la Corée du Nord, où quand tu commets un crime, ta famille est punie sur 3 générations.
Enfin tout ça est très prenant, ton univers me semble maîtrisé et tu sais susciter l'intérêt :D 
Makara
Posté le 27/09/2018
Coucou Elia :) C'est super de te revoir par ici !
Ne t'inquiète pas je ne risque pas de te détester^^, j'aime le chipotage :)
Je comprends totalement ton ressenti sur l'attitude des Patrouilleurs et tu n'es pas la seule à avoir trouvé cela trop appuyé. Disons que je les voyais difficilement s'entretenir avec Alya avec plus de douceur... Concrètement, ils ont un peu tous pouvoirs sur les habitants de Mallaig et ils ont tendance à en abuser. Comme tu l'apprendras par la suite, la violence est interdite dans la Cité même pour les Patrouilleurs. Les mots, l'attitude sont donc la seule violence possible en tant que soldat. 
Après, tu me diras si j'ai tord mais je pense que s'ils agissaient plus gentiment, les réactions d'Alya seraient encore plus énervantes... D'ailleurs pourquoi elle t'exaspère au juste ? ça m'interesse beaucoup :p
Je ne suis pas encore satisfaite de ces trois premiers chapitres, ils sont les plus anciens même s'ils sont retravaillés je leur trouve encore pleins de défauts ( ça doit te le faire aussi je pense non ou c'est que moi ?).
 
Je suis contente que le monde te plaise malgré tes chipotages :). Le mystère sur le père d'Alya est important, s'il a fui c'est qu'il avait des raisons bien sûr :)
Bientôt tu vas en apprendre plus sur le recyclage et le jumelage (chapitre sur Jun). Tu verras, en effet, que l'acte du frère de Jun va avoir des conséquences sur sa famille comme tu l'as relevé.  Bref, j'ai hâte de lire ce que t'en penses :p
Pleins de bisous volants et merci encore pour ton passage <3
Makara 
 
Tac
Posté le 10/09/2018
Yo !
C'est dingue comme j'ai accroché à ton histoire ! Depuis le début du Plumest Show, je me prépare à ne lire que 3 chapitres de chaque fiction, et ça influe un peu sur ma façon de m'attacher à la fiction, à l'univers, aux persos. Mais alors ta fiction a eu raison de mes efforts de détachement et ce dès le premier chapitre.
Bref, ce n'est absolument pas constructif, mais c'était pour prévenir que tu vas me revoir !
J'ai noté que par deux fois il y avait une virgule mal placée, la première dans le preimer chapitre je crois, la seconde ici :
"Une âme broyée par le système ayant pour seule lumière, sa fille." --> avant le "ayant"
A bientôt !
Makara
Posté le 10/09/2018
Yo Tac !! Oh que cela me fait plaisir ce que tu me dis là ! Surtout lorsque je vois le niveau des autres fictions ! Ecoute je serai ravie d'avoir tes retours sur les autres chapitres ! Surtout que tu vas avoir de belles surprises je pense ;-)
Ce n'est pas grave du tout que ce ne soit pas constructif ! Je suis déjà super heureuse de t'avoir transporté dans mon monde pendant ces trois chapitres^^
Ah la pontuation !! Mon démon ! Je vais regarder ça, merci de me le mentionner ;-)
A très vite alors ? (j'ai hâte car je suis sûre que tu vas adorer Nohan) 
Bisous volants 
Makara 
Rachael
Posté le 05/09/2018
Un bon troisième chapitre, avec l’action qui démarre fort ! Voilà Alya qui découvre des « rebelles » ? (ou plutôt ce sont eux qui la découvrent !)
Je me suis quand même demandé si la coïncidence rencontre d’un frère puis l’autre (puisqu’il ne vient pas la voir au sujet de son frère, en fait…) n’était pas un peu forte. C’est bien lui qui lui fait parvenir la pièce ? Ou alors il y a un truc qui m’a échappé. Je n’ai pas compris non plus l’intérêt de lui donner la pièce dans une plante s’il faut ensuite qu’ils se rencontrent physiquement (c’est dangereux, non ? ). Bref, il y a peut-être un truc à éclaircir, là, pour les boulets comme moi.
Makara
Posté le 05/09/2018
Tu as vu juste, ce n'est pas une coïncidence... Oui c'est bien Jun qui lui fait parvenir la pièce. A la base, il ne vient pas voir ses recrues mais Alya pour lui est une personne spéciale :p
Tu n'es pas un boulet je te rassure, tu n'es pas la première à t'interroger sur ça :p
Bref j'espère que tu repasseras, les cités ont beaucoup à révéler^^
Bisous volants
Makara 
Isapass
Posté le 04/09/2018
Ce chapitre tient la promesse du précédent : je suis complètement prise par l'intrigue et j'ai hâte de lire la suite.
J'aime particulièrement comment tu intègres la présentation du contexte dans l'histoire, depuis le début : du coup, ça démarre vraiment tout de suite et on est très vite happé, sans pour autant avoir l'impression d'être largué au milieu de nulle part puisque le décor se forme petit à petit.
Je suis très enthousiaste et je reviendrai sans faute lire la suite après les HO ! 
Détails :
"- Et dire que la cité t'a tout offert ?" : je pense que des points de suspension à la place du point d'interrogation se justifieraient.
"Une âme broyée par le système ayant pour seule lumière, sa fille." : la virgule est en trop, il me semble. 
"- Ne faîtes pas l'enfant. Celle que vous avez trouvée hier matin dans le pot en terre.
"L'inconnu lui rendit la pièce, " : en fait il n'est plus vraiment un inconnu
- Donnez-la moi." : cette fois, il y a un retour à la ligne et un tiret en trop. Si j'ai bien compris, on ne change pas d'interlocuteur. 
 
A très vite 
Makara
Posté le 04/09/2018
Super que ce chapitre te plaise toujours autant ^^
J'espère que le personnage de Nohan te plaira ;)
Merci pour ton relevé de coquillettes :)
bisous volants 
Rimeko
Posté le 26/08/2018
Coucou Makara !
J'avais déjà vu passé ton JdB et tes histoires, mais journées à 24h seulement, PaL interminable, toussa toussa... Mais vu que tu as été nominée pour le Plumest Show, et que le résumé de Sillages était alléchant, me voilà finalement !
(Et oui, je suis incapable de faire des commentaires chapitre par chapitre lol)
<br />
 Coquillettes et suggestions :
Chapitre 1 :
"elle s'assit sur le bord de son lit en se massant la partie qui l'irradiait" En massant la zone douloureuse ?? (ça me semble un peu maladroit sinon...)
"Des pensées l'assaillirent immédiatement sur la raison d'un tel réveil" Un peu lourd comme formulation...
"Les mains jointes et le corps saisit (saisis) de tremblements"
"- Eline, rassures-moi (rassure-moi), tu n'as pas gardé de pièces de Valek ?"
"- On te tiens (tient) à l'œil, Alya Aménabi"
"Alya haïssait le gris, il reflétait son existence morne et sans saveur." Déjà entendu parler du « show, don't tell » ? :P Il me semble que le lecteur voit assez bien à quel point la vie d'Alya ne fait pas rêver, sans que tu aies besoin de l'énoncer aussi directement...
"Faites attention, vous n'avez le droit qu'à trois retards par mois. s'exprima une voix métallique provenant du lecteur de carte." Pas le meilleur verbe d'incise du monde :/
 
Chapitre 2 :
"- Allez, fait (fais) pas le difficile."
"Deux d'entre eux tenaient une petite fille de 5 (cinq) ans par la main" C'est mieux d'écrire les chiffres en toutes lettres...
"il devait approcher les 40 (quarante) ans"
"refuser sa requête lui attirerait plus de problème(s) que l'accepter"
"- Tant pis, allez range moi tous (tout) ça"
 
Chapitre 3 :
"Perchée en haut de son immeuble, les cheveux balayés par le vent artificiel et le visage éclairé par une lumière opalescente, ce bourdonnement si familier la tira de ses songes" Anacoluthe involontaire ; la première partie de la phrase (« perché... opalescente ») se rapporte à Alya, et le reste au bourdonnement. Niveau syntaxe, c'est incorrect :)
"sa lèvre inférieure s'irritait de la voix d'Alya" Hein ?
"cela t’enlèveras (enlèvera) peut-être l'envie de te promener là où tu ne dois pas être..."
"- Il a le même, il appelait cela un sillage" Ça paraît hautement improbable qu'Alya ne l'ait jamais appris avant (et qu'elle réagisse si peu en l'apprenant, aussi)... Je pense que tu pourrais le tourner de façon à ce que ce soit seulement un « rappel » de sa mère. Surtout que ça paraît un point important, alors que là c'est traité de manière presque anecdotique.
"- Ne faîtes (faites) pas l'enfant. Celle que vous avez trouvée hier matin dans le pot en terre.<br />- Donnez-la moi." Il a un tiret de trop ici, vu que c'est toujours Jun qui parle ^^
 
J'aime beaucoup le monde que tu nous dépeins en tous cas ! Enfin... j'ai pas envie d'y vivre, hein, mais j'admire la construction / l'invention XD J'ai apprécié aussi la façon dont tu intègres l'histoire de la création des villes, avec le vieil homme, c'était judicieux ! La distinction entre les deux villes (Mallaig et Etioli, c'est ça ?) est cool aussi, avec leurs réactions différentes à la catastrophe... Ça fait deux cultures à découvrir pour le lecteur, c'est alléchant ^^
Tes personnages sont attachants aussi... Je suis intriguée par le problème des femmes à Etioli, et de ce que sera l'avenir de Cyla (des yeux vairons !!) là-bas, mais je dois bien avouer que pour l'instant j'ai un faible pour Alya et sa révolte ! Je suis curieuse d'en apprendre plus sur cette étrange pièce... Une organisation secrète, hum ? Un genre de résistance ? (Oh, et aussi... je ne m'attendais pas à ce que le garçon saute malgré tout, donc j'ai été surprise, ce qui est « bien », même si c'était pas une surprise super plaisante :P)
Le seul petit bémol serait les formulations parfois un peu maladroites (cf. relevé plus haut) et une ponctuation un peu aléatoire (il manque des virgules j'ai l'impression, et parfois il y a un point sans trop de raison...). Mais l'histoire en elle-même est vraiment cool !
Makara
Posté le 26/08/2018
Salut rimeko :) oh c'est tellement super que tu sois venue lire mon histoire :). Merci pour tes remarques et les coquillettes ! Dès que je reviens de vacances je vais me concentrer sur quelques reformulations sur mes 3 premiers chapitres qui sont les plus anciens et qui ont besoin d'un peu de relecture ! Je pense que tu devrais trouver la suite plus fluide :). Je suis ravie de voir que tu aimes les deux ambiances des villes et que tu accroches bien au personnage d'Alya ! J'ai hâte que tu lises la suite et que tu découvres un peu plus de choses sur ces deux mondes qui ont tant à révéler :p
Pleins de bisous volants  ! 
MLdlG
Posté le 30/05/2018
ha ha ! tout se met en place, doucement mais sûrement :)
J'aime beaucoup dont l'histoire se déroule. Quelques remarques, mais j'avoue que je n'ai pas grand chose à dire. :) 
"- Et toi ! Qu'est-ce que tu fais ?" [j'aurai plutôt dit Hé toi que Et toi]<br />
"C’est ce que j’ai tou-jours vou-lu fai-re," [comme il est en colère et que je ne trouve pas ça pratique à lire (peut-être l'effet écran aussi), tu pourrais éventuellement mettre des majuscules comme plus haut, ainsi qu'à "é-choué"]
"Je te laisse le souvenir de ce qu'il s'est passé, cela t’enlèveras peut-être l'envie de te promener là où tu ne dois pas être..."
Line [euh, j'ai râté une marche ou au ch 1 elle s'appelait Eline ?]
"Vous vous appelez bien Alya Amanabi" [idem, c'est bien Aménabi ?]<br />
"- Je n'étais pas censé savoir à qui elle était destinée... maugréa Alya en sortant l'objet de son pantalon."
"Le patrouilleur dans un mouvement rapide récupéra le récupéra."
Voilà voilà !
Bon et bien tu fais désormais partie des mes histoires favorites !
Au plasir de découvrir la suite et bonne continuation !
Makara
Posté le 30/05/2018
Rolalala je crois que j'ai voulu mettre mon chapitre en ligne trop vite !! Ahaha, je vais corriger ces petites erreurs de ce pas !Merci pour tes remarques qui sont toutes pertinentes.
Je suis tellement contente de voir que cela te plait :)
bisous volants !
Makara
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