Chapitre 12

Notes de l’auteur : Bonjour ! Voici le douzième chapitre ! J'espère qu'il vous plaira :) Je compte sur vous pour me lire et me donner votre avis ! :)

BIP… BIP… BIP…

Un bruit incessant me dérange dans mon sommeil. Je suis tellement fatiguée, j’aimerais que cela s’arrête et continuer de dormir. 

BIP… BIP… BIP…

Mais qu’est-ce que c’est ? Cela ne ressemble pas à mon réveil. Mais attends, je suis trop reposée là… J’ai trop dormi, ça ne va pas du tout, je vais être en retard sur mon programme.

Mes yeux s’ouvrent d’un seul coup, je me trouve dans une chambre étrangère mais pourtant très connue dans son aménagement. Qu’est-ce que je fais dans une chambre d’hôpital ? Je me redresse et je regrette rapidement mon geste. Une migraine me prend, je me touche doucement la tête en me rappelant les événements de la soirée. J’ai honte de mon comportement, je ne sais même pas comment je suis arrivée là.

A ma gauche, je vois que le rideau est tiré. Est-ce que j’ai une partenaire de chambre ? Pile à cet instant, je vois une femme âgée de 60 ans passer et se diriger vers la porte. Elle a des cheveux blancs très courts et porte la tenue classique des patients. En passant devant mon lit, elle me jette un regard et me lance un grand sourire.

- Bonjour, vous êtes réveillés ! Je suis Simone, votre voisine de chambre, j’ai été hospitalisée il y a quelques jours ! Je ne vous dérange pas longtemps, je voulais juste me dégourdir les jambes. 

Des bruits et des pas dans le couloir m'indiquent l’arrivée de quelqu’un. C’est Chri-Chri qui passe la porte. 

- Mat, tu es réveillée ! Tu m’as fait une peur bleue ! Qu’est-ce qui s’est passé ? Je t’ai entendu hurler mon prénom et pousser un cri avant d’entendre un gros boum.

- On a fait une séance de spiritisme, ils ont commencé à faire les cons, j’ai eu de plus en plus peur, je voulais partir et je me suis vue dans le miroir. 

- Attends, tu t’es évanouie parce que tu t’es vue dans le miroir ?

- Oui, j’étais terrifiée, tout mon corps me disait de partir loin et vite.

- Mais pourquoi as-tu participé à cette séance de spiritisme, tu avais déjà terminé ton entretien avec Alex ?

- Pour la science et prendre des notes pour toi sur l’effet psychologique. Concernant Alex, il m’a déversé de la haine pure et a utilisé l’argument de la sélection.

- Lui, te parler de sélection ? Je dois mettre à jour son profil psychologique, c’est étonnant tout de même, il cache très bien son jeu…

Ma migraine ne disparaissant pas, je grimace un peu et tente de m’étirer. 

- Tu peux me passer mon téléphone et le tien stp ?

Elle cherche mon portable du regard et me les tend d’une mine interrogative. Je m’en saisis et active le flash sur son téléphone tandis que je lance un enregistrement vidéo sur le mien. 

- Qu’est-ce que tu fais ?

- Je teste mes réflexes photomoteurs. Avec cet enregistrement je vais pouvoir voir si mes pupilles ne sont pas symétriques ou si elles ne réagissent pas de la même façon à la lumière. Tu veux bien me ramener les autres outils nécessaires pour mes tests ?

- Le médecin ne devrait pas tarder, je l’ai croisée dans le couloir. 

Je ne réponds pas tout de suite et me concentre sur la vidéo et mes pupilles. 

- Je sais mais plus vite mes examens sont terminés moins je risque qu’on appelle mes frères. 

- Alors justement…

- Non… 

Je lève brusquemment la tête et la fixe. 

- Si…

- Ne me dis pas que tu as…

- J’étais censée faire quoi ? Tu étais par terre, inconsciente ! Je devais les prévenir et de toute façon ce sont tes personnes à prévenir en cas d’urgence. 

- Et le secret professionnel ?

- Tu sais très bien que ça n’a rien à voir…

- Je vais me faire dégommer…

- J’ai minimisé, ils ne savent pas qu’on était en plein urbex. Tu as juste glissé et tu es tombée, à toi de voir ce que tu veux leur dire… 

- Je pense que ça va être compliqué de cacher la vérité, prépare-toi à rentrer par la fenêtre de ma chambre pendant des mois.

- J’ai eu Thomas au téléphone, il ne devrait pas tarder. Je ne sais pas pour les autres. 

- Oh crois-moi, ils viendront.

Je pousse un soupir pour relâcher la pression. Avec ce choc et ce mal de tête, j’ai la possibilité d’avoir un traumatisme crânien, il faut absolument éviter toute situation de stress physique ou psychique. Mon amie reste à mes côtés et envoie des messages sur les différents groupes de la promo pour donner de mes nouvelles et rassurer tout le monde. Après cela, elle appelle Nic et me demande si j’ai envie qu’il vienne. La réponse ? Pas spécialement, j’ai assez honte de mon comportement, je ne sais pas du tout ce qui m’a pris. La peur était tellement saisissante, je n’avais presque jamais ressenti ça. Tout me disait de me méfier et de fuir, je pense que je devrais ajouter des cours de yoga à mon programme.

Le médecin arrive lorsque je commence à m’impatienter. 

- Bonjour Madame Leroi, je suis le docteur Meunier. Comment allez-vous ?

- Très bien, je ne pense pas avoir de traumatisme crânien. J’ai vérifié mes pupilles et mon mal de tête est parti assez rapidement.

- Très bien, vous permettez que je vérifie par moi-même. 

- Bien entendu.

Il s’approche alors de moi et testa toutes les réponses aux stimulations douloureuses que ce soit mon réflexe photomoteur, le tonus de mes membres, ma tension artérielle, mon pouls, ma température, le contrôle des sphincters et vérifier si je n’ai pas d’éventuels troubles respiratoires.

- Vous me semblez en pleine forme, vous allez pouvoir bientôt sortir. Il faudra cependant…

- Que j’ai une surveillance à mon domicile pendant 48h, je dois aussi éviter l’usage des écrans, la prise d’alcool, la conduite tout comme le sport. Si j’ai une migraine qui apparaît je dois pas prendre d’aspirine ou d’ibuprofène, cela peut augmenter le risque d’hémorragie interne.

- C’est bien cela, vous devez faire attention à tous les symptômes de traumatisme crânien votre proche qui va vous surveiller est-il arrivé ?

- Non mais je pourrais lui expliquer.

- Ce n’est pas nécessaire en tant que médecin il est de mon devoir d’expliquer les procédures. 

- Je connais les procédures, je suis en dernière année en cardiologie.

- Vous comprendrez donc que je ne peux vous laisser sortir sans expliquer les risques à vous et vos proches. Je reviendrai plus tard.

Il s'éclipse alors sans un mot.

- Je crois que tu l’as froissé me dit Christine assise sur une petite chaise en plastique.

- Mais je lui faisais gagner du temps.

- Personne n’aime les madames je-sais-tout. 

- Je ne voulais pas…

- Je sais mais pourtant…

Elle suspend sa phrase et laisse un gros blanc. Je comprends pourquoi en apercevant l’entrée fracassante d’une armée de Leroi. La pièce se remplit d’une énergie très particulière que je reconnais. Trist ouvre la marche tandis que les autres le suivent de près. Thommy est à côté de lui et blanc comme un linge. Si je ne savais pas que c’était la fin pour moi, je mettrais stop pour prendre une photo, ils sont magnifiques. En plus d’être des beaux hommes et ce n’est pas parce que je suis leur petite soeur, ils sont habillés super classe. Ils doivent revenir de leur travail, ils sont tous en costume ou dans des substituts. Je dois m’attendre à avoir un défilé d'infirmières dans ma chambre. Christine se lève pour les saluer mais Thommy lui fait signe de s'asseoir rapidement. Elle qui est si imperturbable face à une armée de cinq colosses, elle ne dit rien et se plonge dans son téléphone.

- Mathilde…

Ola, ça commence mal si on commence par m’appeler par mon prénom. Ce n’est jamais bon signe quand l’usage du surnom que tout le monde m’affuble n’est plus utilisé. Je ne réponds que par un maigre sourire, j’attends ma sentence. Je souhaite me relever mais je me doute que je ne vais pas en avoir le droit. Être debout me permettrait de me sentir sur un point d’égalité. 

- Tu vas bien ?

- Je vais bien, RAS. Vous n’étiez pas obligés de tous venir, ce n'est vraiment rien. En plus vous aviez des choses importantes à faire pour votre travail. 

Le soupir de soulagement de mes cinq hommes préférés retentit dans la pièce.

- Tu nous as fait une peur bleue Mat.

- Je sais et je suis désolée.

Je me doute que ce n'est pas forcément facile de recevoir un appel nous disant que notre petite sœur est à l'hôpital.

- Dis-nous ce que tu as eu, dis Trist en se grattant la tête, s’il continue comme ça il va finir par s’arracher tout le cuir chevelu. 

Tristan est le plus vieux et est celui qui décide de tout à la maison. C’est lui la personne la plus importante et la plus sage. Tous les autres garçons restent à ses côtés et me fixent.

- Une connerie, j'ai eu peur et je suis tombée en me regardant dans un miroir.

- OK, tu n’as pas de traumatisme crânien ?

- Le médecin m’a dit que je n’en avais pas. Je dois juste être surveillée pendant les prochaines 48h pour vérifier les symptômes.

- OK, tu sais ce qu’il va se passer. Tu es privé de sortie jusqu'à nouvel ordre, plus de télévision, plus de sortie de groupe. Tu restes à la maison, tu rentres directement après les cours. Si tu as besoin de réviser, tu nous demandes et on s’organisera. Et surtout ne pense plus jamais faire de l’urbex.

Je le regarde, je ne peux pas le nier, ça ne sert à rien. 

- Bien sûr qu’on est au courant. Des voisins ont appelé le poste de police de Trist, ils n’étaient pas au courant que la mairie et les propriétaires avaient donné leur accord pour une soirée étudiante de médecine. Le rapprochement a été relativement facile. 

- Je sais, je m'en doutais un peu, vous êtes au courant de tout…

- C’est notre rôle. Tu peux avoir des visites à la maison mais on est présent dit-il en regardant Christine qui fixe son téléphone en oubliant de cligner des yeux. Si tu as le moindre problème ou que tu sens le moindre symptôme, tu nous préviens tout de suite même si on est en réunion, notre travail ne sera jamais plus important que toi.

- C'est noté, je suis navrée pour l’urbex je n’étais pas au courant. Tout allait bien et je n’étais pas en danger, c'est juste de la malchance. Je pourrais très bien laisser la maison dis-je en utilisant ma voix la plus innocente pour montrer que je ne veux pas rentrer en conflit.

- Tu as raison, on va rajouter des tapis antidérapants dans la maison pour limiter tous les risques. 

- C'est une blague j'espère, vous n’allez pas réellement faire ça ? 

- On s'inquiète pour toi.

Tous mes autres frères acquiescent, il me le dit comme si c’était la réponse à tous les problèmes.

- Je le sais et je vous en remercie, vous avez toujours été très présents pour moi, à m'écouter, à me protéger… Vous m’avez laissé être votre infirmière lorsque vous reveniez d’une bagarre que j’avais causée, c’est grâce à vous que je suis arrivée aussi loin.

- On entend, répond Trist. Mais cela ne va pas nous faire changer d'avis, on a profité du chemin pour en discuter. Dorénavant, les décisions seront prises ensemble, si tu souhaites sortir tu devras en parler à tous les cinq, on fera alors un vote, tu auras bien entendu une voix. Si la majorité est favorable, tu pourras suivre tes projets, si ce n’est pas le cas, tu resteras à la maison.

- Les gars, j'ai 25 ans, je suis dans ma dernière année de médecine. Vous n’allez pas pouvoir me protéger à vitam eternam…

 Christine écoute la conversation sans bouger, elle est en train d’assister au fruit d'une conversation des Leroi. Il s’agit d’un combat rempli d’amour et d’inquiétude, ici je ne peux pas lâcher ni même les laisser gagner. 

- OK on en parlera à la maison, à tête reposée et non sous l’impact de nos émotions. Nous avons eu très peur pour toi, on ne savait pas ce que tu avais. La seule information en notre possession était que tu étais à l’hôpital et que tu n’étais pas réveillée. On va aller voir le médecin et lui demander son avis médical. 

- Je vous l’ai déjà transmis. 

- Nous voulons l’entendre à notre tour, pour être certain de t’apporter tous les soins nécessaires.

- OK pendant ce temps-là, je récupère mes affaires et je m’habille, ça vous convient ?

- On revient dans une vingtaine de minutes, demande à ton amie de t'aider à ranger tes affaires. Tu ne devrais pas faire d'effort physique.

Christine sort comme par magie de son état hypnotique de son téléphone. Je sais très bien qu’elle a écouté toute la conversation et qu'elle va me faire un bilan complet et une analyse psychologique de la réaction de Tristan. La conversation est terminée, tous mes frères se dirigent un par un vers mon lit et m'embrassent sur le front. Tous me glissent des mots d’amour, des je t’aime petite soeur, des ne me fais plus jamais… Mais c’est Thommy qui m’émeut le plus, je le sens torturé. Il s’en veut de m’avoir laissé sortir. Je le vois les larmes aux yeux, je vais devoir avoir une conversation avec lui.

La brochette masculine des Leroi sort comme elle est venue : brillante de milles feux, remplit de classe et de beauté. Des manteaux longs de différentes couleurs laissant passer le vent dessous quittent la pièce. 

- Wahou, la testostérone qui est arrivée d’un seul coup ! Tu vas bien ? Tu as réussi à te sortir de son combat de titans ?

- Oui ça va, je pense que ta présence m'a permis de m'en sortir vivante. Cependant, je ne pense pas que le résultat sera le même à la maison… 

- C’est impressionnant tout de même, autant de garçons qui te protègent, je ne savais pas que c’était à ce point.

- C’est parce qu’ils s’en veulent, ils sont devenus hyper protecteurs. Avant, ils n’arrêtaient pas de me chercher, ce n’était absolument pas comme ça à la maison. Ils me cherchaient tout le temps, me faisaient marcher, ils me poussaient, je n'arrêtais pas d’avoir des bleus, j'étais la petite fille facile à embêter et ils ne se gênaient pas. 

- Qu'est-ce qui s'est passé pour avoir un changement aussi radical ?

- Une fois, une blague a un peu dérapé. Ils s’étaient tous mis d’accord pour m’enfermer à la cave pour me faire peur. C’était l’histoire de cinq minutes, ce qu’ils n’avaient pas prévu, c’est qu’en fermant la porte la lumière s’éteignait automatiquement. Je ne voulais pas rester sur le palier donc j’ai commencé à descendre les escaliers sauf que j’ai fini par tomber et me faire un traumatisme crânien. Quand ils sont revenus me chercher, j’étais tout en bas de l’escalier et je ne répondais pas.

- Tu as mis combien de temps à t’en remettre ?

- J’ai mis plusieurs jours à me réveiller et plusieurs années à m’en remettre complètement mais je ne leur en veux pas.  On était petits, ce n’était pas dans le but de me faire du mal. Ils voulaient juste s’amuser, ils s’en sont toujours voulus. Évite de leur en parler d’ailleurs, c’est un sujet assez tabou. 

- Je ne savais pas du tout pour ton traumatisme, tu aurais pu m’en parler.

- J’étais petite et je n’ai aucune trace de cet incident.

- C’est tout de même important surtout pour comprendre la psychologie de ta famille.

- Si on pouvait éviter de parler des problèmes de ma famille devant ma voisine de chambre, qui je pense, a envie d'un peu de tranquillité, ça m’arrangerait.

Je lui dis en désignant le rideau situé à ma gauche.

- Ta voisine de chambre ?

- Oui, j'ai rencontré Simone avant ton arrivée. La pauvre est retournée derrière son rideau et n'a pas pu sortir avec tout le monde qui est venu me voir. 

- Je ne savais pas que tu partageais ta chambre, pardon Simone !

 Un grand silence retentit dans la pièce, aucune réponse.

- C'est étrange, elle ne répond pas…

- Elle dort peut-être.

 Chri-Chri tire le rideau et se glisse de l'autre côté de la pièce. 

- Mais qu'est-ce que tu fais ? Ça ne va pas d’aller voir les gens que tu ne connais pas comme ça… 

- On est en médecine, tu connais la non-assistance pour les personnes en danger ? C'est une personne qui ne répond pas alors qu’elle a été hospitalisée, c’est dangereux.

Je ne peux qu’acquiescer, cependant son manque de réaction m'inquiète.

- Ce n'est pas drôle Mat, soupire mon amie.

- Mais de quoi tu veux parler ? 

- Tu n'as pas de voisine de chambre, le lit est fait et il n’y a personne.

Je le regarde fixement et me lève à la hâte pour regarder derrière le rideau. Je fais le même constat qu’elle, il n’y a personne. Je regarde partout même sous les endroits les moins logiques, le placard et sous le lit me semblent maintenant des options potentielles. 

- Je l'ai vu tout à l'heure je te jure que je l'ai vue comme je te vois. 

- Tu es certaine que tu n'es pas cognée plus fort que prévu sur la tête ? Il n'y a vraiment pas l’ombre d’une Simone et personne n'est sorti depuis que je suis là.

- Oui elle était là, elle me dit qu'elle voulait se dégourdir les jambes je n'ai pas inventé !

- C'est vraiment bizarre, on va appeler cet épisode de notre nuit : la disparition de Simone. Il faut mener l'enquête !

- Non mais laisse j'ai du rêver, n’en parle pas à mes frères, ils vont encore plus paniquer.

- Tu en es certaine que je ne devrais pas en parler ? Tu viens littéralement de voir une femme transparente. 

- Je pense que j’ai rêvé ou que j’ai dû m’endormir quelques instants avant que tu arrives et je ne l'ai pas vu sortir de la pièce. 

- Je te propose pour qu'on soit fixé. Je vais aller demander discrètement à une des infirmières si tu as une voisine de chambre qui s'appelle Simone. Si tu as halluciné on en parle à tes frères, si non on est rassuré et je n’ai pas peur que tu décèdes suite à un trauma non traité. 

- C'est vraiment nécessaire ?

- Oui je ne tiens pas à avoir tes frères sur mon dos, je tiens à la vie. 

- Si tu souhaites réellement survivre, je te conseille de me donner rapidement mes affaires pour que je m’habille.

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marcopoloo
Posté le 23/01/2023
INTRIGEANT ! INTRIGEANT ! INTRIGEANT ! INTRIGEANT ! INTRIGEANT ! INTRIGEANT ! INTRIGEANT ! INTRIGEANT ! INTRIGEANT ! INTRIGEANT ! INTRIGEANT ! INTRIGEANT ! INTRIGEANT ! INTRIGEANT ! INTRIGEANT !
petitpain1
Posté le 20/01/2023
Première fois que Mat m'agace un peu avec son côté Madame je-sais-tout ! Le médecin est très calme et n'a pas l'air surpris je trouve du comportement de Mat.
Aline
Posté le 25/05/2022
Je continue ma lecteure et franchement j'aime toujours autant je ne sais pas comment j'ai fait pour survivre sans continuer à te lire ! Je veux trop l'avoir en version papiée.
Aliam JCR
Posté le 11/06/2022
Ooooo mais merci beaucoup pour ton adorable commentaire ! 🥰
Fanta-Chris
Posté le 25/02/2022
Pourquoi les frères sont aussi protecteurs ? Elle n'est pas un peu âgée pour ça ? Sinon, c'est bien, la réaction de Christine est réaliste ! J'ai enfin mes fantômes que j'attendais tant !
Aliam JCR
Posté le 09/04/2022
Oui tu as tes fantômes ^^ Merci beaucoup pour la réaction de Christine ! J'ai envie de te répondre pour ses frères protecteurs mais j'ai peur de te spoiler ^^ La seule chose qu'il faut retenir c'est qu'il y a une raison :)
Claire May
Posté le 12/02/2022
Coucou :)
Merci pour ce super chapitre où les fantômes commencent à apparaître ! Les frérots sont super attachants, et la réaction de Christine qui se réfugie sur son portable est vraisemblable.
Attention il y a un endroit où un passé simple s'est glissé dans le récit au présent.
J'attends la suite avec impatience
Aliam JCR
Posté le 18/02/2022
Coucou !

Cela me fait tellement plaisir de voir que tu apprécies autant mon histoire et mes chapitres ! Merci beaucoup pour tous tes commentaires !

Je me note ta remarque sur le passé simple, je corrige ça lors de ma relecture !

Encore merci !
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