En levant les yeux vers les étoiles,
Dispersées dans la nuit – sombre voile -,
Je m’imagine sentir ton regard
Posé sur moi, surveillant mon départ.
Où que tu sois dans l’univers,
Je viendrai te chercher.
L’horizon n’est jamais atteint ;
Pour toi, je vais le dépasser.
Si ma quête, mon odyssée,
Hélas ! Devait se montrer vain
Dans une tombe stellaire,
Je te rejoindrai.
Le rapport avec les étoiles et les astres est très beau, j'aime beaucoup :)
C'est le premier de tes poèmes que je lis, je compte bien continuer ;)
Fy
Je suis content que ce poème t'ait plu et que ça t'ait donné envie d'aller en lire d'autres :-).
Enc regardant les nouveautés, je suis tombée sur toi.
He bien moi, je le trouve tout à fait charmant ce poème, je ne sais pas à quoi tu fais référence, mais il peut s'adapter à beaucoup de circonstances.
Les deux vers de la fin sont magnifiques, pour moi, c'est un poème d'amour.
Une seule remarque, car j'écris de façon assez classique, j'aurai mis :
Si ma quête, mon odyssée,
Hélas, devait se montrer vain
Mais les poètes ont tous les droits :-))
À bientôt !
Merci pour tes gentils mots, Aranck.
Je vais encore gentiment abuser de mes pouvoirs comme j'ai tous les droits ;-)
Au plaisir de te lire!
C'est magnifique !
Juste quelques problèmes de métrique, mais je ne sais pas si tu cherchais vraiment un nombre de pieds fixes.
J'aime beaucoup les images que dégagent ton texte. Je vois une personne par une nuit étoilées qui part sans trop savoir où, sur les traces de son/sa bien aimé(e). Et c'est tout doux !
Olek
Quel enthousiasme!
Ici il s'agit vraiment d'un poème gribouillé en deux minutes (juste avant le début de la partie de Splorz).
S'il a pu te faire rêver, te transporter, son auteur en est transi de fierté.
Mart