Le soleil n’est pas encore couché que je lève les yeux au ciel pour les chercher, mes étoiles. Oui, je les fais miennes, elles m’appartiennent tant que je les regarde.
Je cherche la première qui apparaîtra, j’attends patiemment, et quand la discrète se montre, je souris. Une fois la nuit tombée, la solitaire retrouve ses alliées et je la perds dans la Voie lactée.
Si je marche, je m’arrête et j’observe, le nez tendu vers le ciel.
L’hiver, le froid rend ce moment plus particulier encore. Me voilà vaillante à affronter les éléments pour quelques minutes de paix.
L’été, je contemple. Des étoiles filent et défilent, les constellations exhibent leur plus belle lumière.
Sous un ciel nuageux, je fixe les cieux et j’attends. À de multiples reprises, le ciel me sourit. Il me laisse apercevoir mon astre, symbole que même derrière le plus noir se cache toujours l’espoir.
J'aime beaucoup ta plume également et je te rejoins sur notre complémentarité. Merci encore :)
Pour ta blague, désolée, mais j'avoue que je n'ai pas compris ! Tu en feras une mieux la prochaine fois ;)
J'ai ajouté des sauts de ligne comme tu me l'as conseillé. Est-ce mieux, ou est-ce un peu trop cette fois ?
Ce qui est intéressant c'est de voir quand le saut de ligne est pertinent. Tu pourrais peut-être garder le premier paragraphe intact jusqu'à "voie lactée" et après faire un saut de ligne quand tu changes de saison et pour mettre en valeur le dernier paragraphe. Après c'est vraiment selon ton appréciation, le texte t'appartient.
Je crois qu'au final, j'aime bien avec tout cet espace. Je vais donc laisser ainsi ^^ Merci pour la suggestion :)