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Par Liné

Avant la réécriture, j'avais tendance à découper en plusieurs parties les chapitres que je considérais trop longs à lire sur Plume d'Argent. Ce découpage ayant généré quelques soucis de compréhension pour une histoire racontée à rebours, j'ai décidé de regrouper certains chapitres entre eux : d'où la présence, en fin de publication, de trois chapitres "blancs", qui me servent surtout à garder de précieux commentaires. Navrée pour la fausse surprise, et surtout : merci d'avoir lu jusqu'ici !

 

Liné

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Jupsy
Posté le 13/04/2020
Coucou,

Je n’ai rien contre Sofiane mais… il pourrait quand même faire l’effort d’écouter Claire au lieu de l’admirer. S’il veut espérer l’intéresser, faut quand même prendre le temps de s’intéresser à son esprit plutôt qu’à son physique. J’avais envie de lui mettre une tape sur la tête pour lui intimer de se consacrer sur les propos au lieu de ne voir que le physique. Après c’est peut-être aussi parce que pour moi le physique est quelque chose d’abstrait. Je le vois sans le voir en fait. Je suis toujours plus intéressée par ce que dit la personne ou par ses mouvements, son attitude. Ses fesses ou la couleur de ses yeux ne m’intéressent pas.

Puis il y a ce moment où Sofiane évoque le cas de Séverine. J’ai bien aimé le fait que malgré les années passées à la côtoyer, il n’ait pas réalisé plus tôt qu’elle lui rappelait sa mère. Je me demande si le décès est récent ou non. Bon tu me diras, ce n’est qu’un détail, mais ça pourrait être intéressant. Après je dis peut-être ça parce que je réalise des choses suite au décès de mon père. Bref, ce passage était clairement intéressant.

J’ai aussi aimé le fait que l’écoulement calme espéré par Sofiane meurt dès l’instant où Claire ose dire qu’elle est stérile. C’est à cet instant que l’élément perturbateur se met en place à mes yeux (du moins si on lisait dans l’ordre chronologique) avec la réaction de Jules qui ne sait pas trop quoi répondre. C’est deux mondes qui se heurtent et la question aurait été : vont-ils apprendre l’un de l’autre ? Manque de chance, on connaît déjà la fin et tu nous as ôté tout espoir ! (sauf si tu vires au fantastique mais j’ai de gros doutes!)

Merci pour ce chapitre qui me rapproche du début de l’histoire et donc de sa fin.
Liné
Posté le 17/04/2020
C'est exactement l'impression que je voulais donner : cette envie de mettre une petite claque sur la tête de Sofiane. Il n'est pas méchant, mais a un comportement un brin déplacé (et puis, il ne se sent pas aussi directement concerné par la rigueur de Jules). L'un dans l'autre, je me suis autant intéressée à ce qui divisait Claire et Jules, qu'à leur environnement direct : qu'est-ce qui permet qu'une ambiance pareille, et au final un drame pareil, soit possible ? Il "suffit" que l'entourage, ou plus globalement la société, accepte et banalise certains comportements.

Et en effet, c'est bien la stérilité qui déclenche l'hostilité de Jules contre Claire. Pas tant le fait qu'elle ne puisse pas avoir d'enfants, mais sa réaction : elle prend ce "devoir maternel" a la légère, et Jules le prend comme un affront.
Aliceetlescrayons
Posté le 31/01/2020
C’est marrant parce que je me sens à rebours des autres. J’ai bien aimé le chapitre sur Klaus mais je trouve que celui-ci, est - d’une certaine façon - aussi intense et donne autant d’infos sinon plus. Sofiane a une façon un peu détachée de noter les détails mais il emmagasine énormément.
En ce qui concerne le « je suis stérile » de Claire, il tombe « pile au bon moment ». Je veux dire par là que la phrase fait totalement sens dans la conversation. Par-contre, pendant une seconde, je me suis demandée à la façon dont Claire lâche le truc, si ce n’était pas une sorte de plaisanterie un peu provoc. Je m’explique : lorsqu’une femme dit qu’elle ne veut pas d’enfant, il est rare qu’elle ne s’entende pas demander « pourquoi? » (comme s’il y avait besoin d’une raison…) ou « tu verras, tu changeras d’avis » Du coup, comme pour casser les éventuelles réflexions, elle balance LA phrase qui tuera toute contestation.
Ceci étant, j’ai bien aimé ce moment de flottement ^^
Liné
Posté le 12/02/2020
Tu me rassures ! A titre personnel j'ai plus de sympathie (et de points communs) avec Klaus, mais j'ai tenté de garder la même intensité pour tous les personnages (excepté Claire et Jules, à un certain degré). Effectivement, ce que je voulais mettre en avant chez Sofiane, c'est ce côté "tout va bien", observateur, détaché.
La phrase de Claire sur sa stérilité a fait tiquer pas mal de personnes, apparemment ;-) Les deux interprétations me vont (elle l'a fait exprès / elle se rendait pas compte). En revanche, pour moi, Claire est une figure tellement libre, du moins au regard de sa société, qu'elle ne se pose même pas la question de savoir si sa phrase va être perçue comme de la provocation : elle établit un fait qui ne regarde qu'elle, et dont elle se fout, et voilà ^^
Laure
Posté le 10/10/2019
On arrive lentement aux origines !
Il y a plein de jolis moments légers et gentils dans ce chapitre, c'est fou comme ils prennent une dimension plus inquiétante quand on sait tout ce qui se passe après ça.
J'aime beaucoup Sofiane, je me demande si ce n'est pas le point de vue que je préfère. Ça m'a beaucoup plu, ses réflexions autour de Séverine puis de sa mère.
Et Claire est tellement positive, lumineuse, authentique, ouverte à tout et à tout le monde ! C'est tellement injuste que ça finisse comme ça pour elle :'(
J'ai très très hâte d'avoir la suite ♥
Liné
Posté le 10/10/2019
Merci ! Tu es définitivement une dissidente, toutes les autres plumes ont préféré Klaus :-D Je suis contente que le point de vue de Sofiane fasse aussi écho. Quant à Claire, effectivement, à travers ce chapitre mais d'autres aussi, j'ai voulu nuancer l'image de la mégère/manipulatrice que certains persos peuvent avoir d'elle...
A très vite !
Laure
Posté le 11/10/2019
Hahaha mais Klaus il me paraît tout effacé en comparaison ! Eh bien eh bien. Je suis condamnée à la différence.
Ouii bien sûr moi je ne vois pas du tout Claire comme une mégère ni comme une manipulatrice, depuis le début ! (enfin la fin). Elle est super ! C'est lesdits persos qui sont stupides :(
Keina
Posté le 03/10/2019
Coucou Liné, bon, ben voilà, je suis arrivée au bout des chapitres publiés, j'espère qu'il y en aura vite un autre ! En tout cas, j'ai bien aimé le chapitre sur la randonnée et la baignade, celle-là même qui est responsable des conjonctivites, je suppose... Et puis on a eu la deuxième partie de la gifle, celle donnée au directeur par Claire. puis il y a eu le chapitre avec la petite autiste, et on a eu l'explication de la première gifle! Et enfin, là, l'explication du pourquoi le briquet s'est trouvé en possession du gamin, puis du directeur... Bref, tout semble couler de source, et j'adore la façon que tu as de glisser des "indices" sur la suite (qui n'en sont pas vraiment puisqu'on connaît déjà la suite.... ^^). Et là, Jules qui souhaite la bienvenue à Claire, quand on sait comment ça se termine... c'est cynique à souhait ! J'ai hâte de voir ce que tu vas nous concocter pour le début/la fin !
Liné
Posté le 06/10/2019
Hello Keina ! Et oui, tu as bravement remonté le fil !
En lisant ton commentaire, je me rends compte que l'enchaînement des bouts d'intrigue (les gifles, la baignade qui donne la conjonctivite...) ne perd pas les lecteurs.trices en cours de route, et c'est rassurant. Effectivement, glisser des indices m'a permis de garder une certaine forme de suspens ! D'ailleurs, il y avait un chapitre que j'avais écrit sans indices pour la suite, et je m'étais rendue compte que ça ne collait pas - que le chapitre se "détachait" des autres comme un mauvais papier peint. Bref : contente que ça fonctionne !
Renarde
Posté le 27/09/2019
"Je suis très heureux de vous avoir dans mon équipe. Cette année encore, je sais que vous ferez des étincelles !" C'est de l'humour noir comme je l'aime XD.

Jules apparaît plus sympathique dans ce chapitre. Il est lourdingue, à côté de la plaque, maladroit à souhait, mais il n'a pas encore totalement vrillé. "Un vieil oncle décrépi balbutiant deux ou trois mots gentils" comme l'a si justement souligné Sofiane.

J'aime la façon de voir les gens de Sofiane. Il se connaît bien et apporte un éclairage différent est plus léger en apparence. Sa vision de Séverine est particulièrement frappante. De l'agacement mêlé de tendresse.

Et on apprend enfin la raison d'être de ce fameux briquet... Un cadeau de beauf qui finira mal.
Liné
Posté le 06/10/2019
Haa, je me demandais si ça ressortirait ou pas ! Et oui, quand on écrit des histoires aussi réalistes et sombres, un petit coup d'humour noir de temps en temps, ça fait du bien... !
Merci Renarde ! Et à tout bientôt :-D
Rachael
Posté le 27/09/2019
Hello Liné,
J’ai eu du mal à écrire un commentaire sur ce chapitre, parce que tout en me régalant à sa lecture, j’ai eu comme une petite déception que je n’arrivais pas à m’expliquer.
Bon, d’abord j’ai aimé le début avec le père, avec son cadeau et ses remarques qui partent probablement d’un bon sentiment (adoucir la séparation ?), mais ressortent carrément machistes.
En fait, j’ai trouvé ce chapitre très bien écrit (comme toujours) et agréable, avec de chouettes images (les poussins qui disparaissent dans le ventre du gîte <3), mais moins « marquant » que le précédent. Bon il faut dire qu’après le chapitre avec Klaus, c’est peut-être inévitable… Là on est avec Sofiane, c’est un personnage qu’on ne connaissait pas encore trop de l’intérieur, et la « peinture psychologique » que tu nous en dresses est savoureuse, avec son regard sur Claire, qui montre que lui non plus n’est pas libéré des stéréotypes machistes, même s’il n’en pas conscience.
Claire a le chic pour mettre les autres mal à l’aise. Je ne sais si elle se rend compte qu’elle bouscule les autres, avec ses aveux intimes à de parfait inconnus. En fait ça part mal dès le début, cette insertion dans la fourmilière…
Donc pour conclure, il est très bien ce chapitre, mais peut-être que le regard de/sur Sofiane est moins subtil que d’autres… bref, je ne sais pas ce qui m’a réellement gêné ici (désolée, je n’aide pas…), mais en tout cas, j’attends le 1 et le prepilogue avec impatience !
Liné
Posté le 06/10/2019
Hello Rachael !

Ah, je crois que tu es tombée dans cette déception que je redoutais, après le chapitre centré sur Klaus qui avait autant plu...
Effectivement, comme tu le remarques, Sofiane est un personnage différent, et notamment différent de Klaus. Et ce que les lecteurs.trices pouvaient apprécier chez Klaus ne se retrouve pas chez Sofiane : lui est passif, en fait. Il remarque que des choses ne fonctionnent pas, mais ne s'en révolte pas et ne réagit pas outre mesure. C'est exactement ce que je voulais dépeindre : un personnage un peu lambda, gentil, mais qui évolue avec une sorte de passivité. Et c'est un peu/aussi cette passivité qui, en définitive, va permettre à certains éléments du drame de se mettre en place (je pars du principe que si plus de personnages s'étaient élevés contre Jules, ce qu'on imagine Klaus capable de faire/ce qu'il a fait en transformant la chapelle, le drame ne serait pas advenu...).

Du coup, est-ce que ta déception quant à ce chapitre ne serait pas en fait une déception par rapport à Sofiane ? C'est un personnage auquel tu t'es moins attaché que Klaus, ou que d'autre / avec lequel tu as moins d'affinité... ?
Rachael
Posté le 06/10/2019
Comme je te le disais, j'ai du mal à m'expliquer moi -même ce qui m'a moins plu ici... c'est sûr que c'est lié à Sofiane, Ce n'est pas qu'il m'a moins plu, mais plutôt peut-être parce que j'ai moins compris ses motivations profondes, sa façon de fonctionner. Cette passivité que tu expliques, je ne l'avais pas vraiment comprise.
Sorryf
Posté le 26/09/2019
Chouette chapitre !
L'atmosphère du début, c'est émouvant de voir leur premier repas, avant que tout ne dégringole. Le passage autour de Séverine m'a émue.
On voit bien comme le directeur est attaché à son planning, à sa routine, et déjà le fait que Claire soit arrivée un jour en retard le crispe un peu.
plus qu'un chapitre ! (et le prépilogue). Hate d'avoir le début/dénouement !!
Liné
Posté le 06/10/2019
Merci Sorryf !
(Haa, et ce dessin de Jules pour l'Inktober... ! Bref...)
Je suis contente que ce genre de passages puisse émouvoir ! J'espère que je serai à la hauteur pour la dernière ligne droite...

A bientôt !
Isapass
Posté le 26/09/2019
C'est vrai, on ne connaissait pas encore bien Sofiane. Lui, c'est le bon gars, attentif aux autres mais aussi (avant tout ?) à lui-même et à son plaisir. Celui qui s'adapte et évite les conflits. Un intuitif, pas un analytique. J'ai bon ?
La scène du début donne des clés pour le chapitre sur Simon : sa réaction à l'infirmerie. Et plus globalement, sur le poids qu'on fait porter aux garçons et, par conséquence, aux filles. Mais ça c'est valable pour tout ton roman.
Et la scène de la fin... J'aime beaucoup le choix de mots de Claire : elle ne dit pas "Je ne peux pas en avoir", elle dit "Je suis stérile". C'est froid, clinique : ça éloigne d'elle le sujet, ça interdit les émotions... et ça doit être encore plus impressionnant pour son auditoire.
Jules qui l'invite à demi-mots à ne pas en parler plus avant, c'est édifiant aussi !
J'aurais bien aimé en savoir plus sur le ressenti de Sofiane, quand même, puisqu'on est dans son point de vue. Par curiosité. Il regarde la réaction des autres, mais on ne connait pas la sienne...
Enfin, comme ça au moins, on sait comment Jules est au courant que Claire est stérile...
Détails :

"D’année en année les enfants défilent, les jours avec mais, phénomène étrange, la vie ne varie jamais." : j'ai du lire deux fois la phrase pour enfin la comprendre, et tout ça à cause d'une virgule manquante ;) Pourquoi pas : "D’année en année les enfants défilent et les jours avec, mais, phénomène étrange, la vie ne varie jamais." ?
"Mais puisque notre dernière recrue, Claire, n’a pu nous rejoindre que hier," : qu'hier (le h est muet, il me semble.
"Il sait qu’en définitive, tout se passera bien." : parfaite cette phrase :)

Je suis impatiente de voir comment tu vas gérer la fin ! A+
Liné
Posté le 06/10/2019
Et tu as encore bon sur toute la ligne !

En revanche, contrairement à toi, un "je suis stérile" prononcée ainsi ne me choquerait pas : au final, c'est surtout Claire que ça regarde, tu ne crois pas... ? Et puisqu'elle ne veut pas d'enfants, elle peut bien l'annoncer de façon aussi factuelle sans que ça paraisse froid. Qu'est-ce que t'en penses ?

Quant à plus montrer le point de vue de Sofiane, j'ai hésité... Et puis, au final, puisqu'il s'agit d'un personnage relativement passif (il fait beaucoup pour la colo, mais ses opinions ne font qu'effleurer la surface des choses - et puis, il accepte beaucoup, aussi, sans remettre grand chose en question). Eh bien, il n'y a pas grand chose de plus à montrer... D'autant qu'au début du roman, dans le chapitre 9 où tout le monde se barre, on était déjà un peu dans sa tête. En fait ma véritable crainte, c'est de ne pas décevoir les lecteurs.trices qui viennent de kiffer Klaus, et qui tombent pile après sur Sofiane, forcément un peu décevant...

Merci encore Isa, et à très vite !
Isapass
Posté le 06/10/2019
Bien sûr que c'est Claire que ça regarde et qu'elle a raison de le dire comme ça lui vient, de ne pas ménager son auditoire alors que c'est un sujet qui ne regarde qu'elle. Mais dans notre société, le fait de ne pas avoir d'enfant (à cause d'une stérilité, mais encore plus volontairement) est encore un tabou. Le genre de sujet qui met l'auditoire mal à l'aise, surtout quand il est "assumé". Ma réflexion se portait donc sur le point de vue de l'auditoire, et non sur celui de Claire dans le choix de ses mots (je ne sais pas si je suis claire... sans mauvais jeu de mot ;) ).

Quant au second point (l'opinion de Sofiane), tu as raison, ce n'est pas tellement surprenant qu'il ne réagisse pas plus que ça à ce que dit Claire.
GueuleDeLoup
Posté le 25/09/2019
Coucou Liné-chou!

Encore un super chapitre. Ce que j'aime tellement dans ton écriture, c'est tut les petits brins de violences que tu sèmes tout du long d'un univers plutôt anodin et chaleureux.
Et cette violence est hyper humaine et vient de chacun , pas seulement de Jules.
Par exemple quand Sofiane contemple Claire sans l'écouter. Je ne sais pas, ça ne m'est jamais arrivé de ne pas m'intéresser à ce que dit quelqu'un qui me plait. quand je n'écoute pas quelqu'un, ma seule excuse est la fatigue (ou bien si cette personne ne m'intéresse vraiment pas, mais dans ce cas je ne fais pas semblant).
J'ai beaucoup aimé quand tu as reparlé du regard de Sofiane sur Jules (en fait je crois que j'aime toujours ces passages-là, les avis hyper différenciés des gens en fonction de qui ils sont) et ça m'a conforté sur le fait que ce soit quelqu'un d'extrêmement calcifié dans ses habitudes et qui déteste le changement et tout ceux qui le représentent.
J'attends de pieds ferme le chapitre 1 et l'épiprologue <3

En tout cas c'est une superbe lecture.
Liné
Posté le 06/10/2019
Hello Lou ! Merci beaucoup !

Effectivement, j'ai voulu que les lecteurs.trices se posent la question du regard que Sofiane porte sur Claire : il est dans la drague gentille mais, au final, pas tout à fait respectueuse. Je me doute que tout le monde ne verra pas ce petit "détail" qui n'en est pas un, mais je suis contente que ça transparaisse quand même à tes yeux ! Au final, Sofiane est un peu le gentil gars passif qui, à force de passivité ben... autorise tout ce qui se passe de mauvais au sein de ce centre.

A très vite ! :-D
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